Souvent on associe « noir, magrebins, immigration » à « banlieue, pauvreté, exploités, révolte contre l’inéquité, mal aimés, persécutés ». C’est cette situation de « brimé qui a du mal à vivre » qui justifierait leur hostilité vis à vis des français dits « de souche ».

C’est pour cela que le cas de K Mbappé est intéressant, car s’il est bien noir et immigré ... pour les autres qualificatifs, c’est exactement le contraire, il représente un grand club parisien, il est très riche, mène une vie plutôt confortable, si son salaire est inéquitable c’est à son avantage, il est adulé par des millions de fans, c’est sans doute sa seule persécution.

Bref Kylian est du côté des riches, des responsables (capitaine d l’équipe de France), des notoriétés, etc.

Et pourtant lui aussi, il critique la France, il s’oppose aux « français de souche » qui à un jeune voyou irresponsable, provocateur et apparemment trafiquant, préfèrent un policier ayant déjà de belles réalisations et luttant pour préserver l’ordre et la vie paisible des citoyens (même si sur ce cas précis, il y a peut-être bavure, l’enquête le dira, attendons)

.

« J’ai mal à ma France » dit-il

comme ses acolytes noirs Omar Sy, Jules Koundé et compagnie...

Donc si la France doit être coupée en 2 parties, qui s’opposent, ce n’est pas Paris/villes contre banlieues, riches contre pauvres, mais cultures/races contre cultures/races différentes (encore une fois sans jugement de valeur entre elles, il n’y a pas des bons et des mauvais, mais des « différents » incompatibles).

La seule issue reste le chacun chez soi.

Le seul point positif, c’est la couleur de l’auteur de cet article (bravo et merci à lui), manifestement noir. La preuve qu’il y a des exceptions qui confirment la règle, et qu’a petite dose et en partageant les us et coutumes, il n’y a pas invasion, et tout va bien.

Un autre point noir (sans jeu de mot) qui pourrait contredire cette affirmation, c’est l’attitude de notre président, blanc et riche, qui immédiatement lui aussi a eu mal a la France en condamnant le policier. Mais depuis, il tourne sa veste (c’est devenue une habitude) pour la mettre maintenant à l’endroit « rien ne permet de tolérer la violence »