@SilentArrow
Dit autrement, vous ne reconnaissez d’existence, qu’à raison que vous pouvez observer, et quand on vous parle de ce qui, pour vous, « n’existe pas », vous ironisez. Vous continuez d’ailleurs là, pour qui me prenez-vous. Et néanmoins, ironie ou pas, ce qui fonde cette ironie, c’est le positivisme. Mais, contre-ironie de ma part, puisqu’il faut que je vous l’explique : pour l’existentialisme, l’existence humaine est précisément ce qui n’a pas d’essence, au sens de substance positive, déterminée. Il en va de même, ainsi, des Dieux, puisqu’ils participent de notre état d’être, et au-delà.
Alors @Tous, je ne sais pas s’il faut parler de négativisme ou bien de diapositivisme là... mais certainement n’est-on pas sur du positivisme au sens comtien. Où pourtant, l’expérience du divin est positive en tant que telle, expérience, de même que tout est divinement vrai selon le Verbe du Dieu de la Vérité, puisqu’il énonce l’essence de tout.
Dit petitement : ce n’est pas parce qu’on observe des dynamiques sérotoninergiques (entre autres) sans entrer dans le vécu d’unr personne, que ces dynamiques résument ce vécu.
Au contraire, le vécu ne saurait n’être que le résidu de ces dynamiques, puisqu’il meut chacun... selon son vécu, quoi que les dynamiques sérotoninergiques passent pour les mêmes.
Dit existentiellement toujours : les vécus sont hodologiques, relèvent des êtres-en-situation.