« Au sein du mouvement traditionaliste, on observe diverses querelles qui témoignent de la complexité de ce courant. Parmi les principaux groupes, on trouve les Sédévacantistes, qui contestent la légitimité des papes depuis Vatican II »
L’Incarnation, la Passion et la Résurrection du Christ, événements surnaturels qui transcendent l’homme créature sacrée de Dieu, montrant qu’il est seul capable de contemplation, sont niés par le prince de ce monde.
Satan a progressivement infiltré l’Église pour éliminer l’Incarnation christique et la transformer en doctrine purement matérialiste, en portant un coup terrible au sein même des plus hautes instances de la Papauté, le pontife et les cardinaux infectés par le progressisme lors du Concile Vatican II (1962-65) ont dénaturé et usurpé la Parole du Christ.
Prétendant valoriser la liberté religieuse et l’œcuménisme pour se conformer au monde progressiste moderne, le Pape Paul VI publie le 7 décembre 1965 l’encyclique « dignitatis humanae ». Désormais, toutes les religions se valent, ce qui signifie que tant que vous croyez en Dieu, que vous soyez catholique, protestant, juif, musulman, bouddhiste ou pastafari, c’est du pareil au même, la vérité révélée n’est plus propre au Christ.
Le Pape Paul VI et ses successeurs propagent donc une hérésie mortelle, puisqu’elle réside au sein même de l’institution de l’Église, et va évidemment à l’encontre de la doctrine chrétienne du Fils de Dieu : « Je suis le chemin, la vérité et la vie, nul ne vient au Père que par moi ».
il n’y a plus de chemin directeur ni d’ordre divin. C’est l’ouverture au relativisme moral, et à toutes les dérives sectaires.
Les prélats de Vatican II trahissent l’Église catholique en suivant la voie de la laïcité républicaine, l’État non soumis à l’autorité divine ne contrôle plus rien, ce qui a comme conséquence directe la transformation en profondeur de la vie en société. Autorisant toutes les dérives comme l’avortement, le mariage pour tous, la pornographie, la destruction sans limite de la nature, la cupidité, l’individualisme, la société de consommation, l’immigration de masse au détriment de l’identité des peuples et du bien commun, le mépris de la vie animale, la prolifération de sectes détruisant la cohésion sociale sur le long terme dans la drogue et la perversion (scientologie, Raël, Moon, témoins de Jéhovah, etc...), et la propagation d’hérésies diaboliques (talmudisme, islam, LGBT, etc...).
L’Église catholique face à l’imposture Vatican II