"De plus, un entrepôt moyen construit pour l’e-commerce consomme trois
fois plus de terres agricoles qu’une bonne vieille zone commerciale.
Et la pollution de l’air ? Le dernier kilomètre, la livraison à
domicile, au petit magasin de quartier, ou au point relais, c’est
environ un quart des émissions de polluants dans les centres villes.
Quant à l’impact social du e-commerce, aux Etats-Unis, par exemple,
un emploi créé par Amazon détruit 4, 5 emplois du commerce traditionnel.
En France, l’e-commerce non alimentaire a mis 85 000 personnes au chômage.«
Hé oui @Rosemar !
Notons au passage que la destruction planifiée du tissu productif et commercial de nos petites et moyennes entreprises n’étant pas assez rapide aux yeux de nos »Global Young Leaders« , l’orchestration des confinements et autres paniques »sanitaires" a largement permis son accélération.
On veillera donc à avoir une pensée de gratitude toute particulière dans nos prières du soir à l’attention d’Albert Bourla, d’Ursula la Hyène et de notre très immature et narcissique petit Monarc — qui, hors prétexte à nous taxer et nous appauvrir un peu plus, n’ont strictement rien à battre du réchauffement climatique ou des bilans carbones — pour leur modeste contribution à notre pleine inscription dans la ruine mondialiste. 
Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations ! 