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Commentaire de Mélusine ou la Robe de Saphir.

sur Thérapie génique : un article de recherche révèle la face cachée des vaccins covid-19


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Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 9 juillet 2023 13:16

La plupart des virus* proviennent sous forme de codons ADN ou ARN des poussières cométaires, ce qui n’est pas le cas du nommé Sars-CoV-2 et Covid-19 par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour la maladie qu’il entraîne (elle l’a déclarée vraie pandémie mondiale le 11 mars 2020) ou de ses prédécesseurs (H-N, SRAS...), armes bactériologiques qui ont été conçues à des fins de manipulation des populations par les scientifiques inféodés au consortium des élites dévoyées - « l’État profond ou Deep State en anglais » - désireuses de faire main basse sur les ressources planétaires en les maintenant sous la cloche de la peur et, pour nombre d’individus, en les dépossédant de leurs activité et entreprise*². Il s’agit ce faisant de corrompre la fonction première des virus naturels, et ce à des fins d’hybridation génétique.

En cette fin de cyclicité civilisationnelle, ces virus « pulmonaires naturels » carnivores pénètrent via les portails trans-dimensionnels répartis à différents points précis du globe, renforçant leur caractère pathogène épidémique grâce au déploiement de la technologie numérique sans fil 4 ou 5-G, procédé tant biologique qu’électromagnétique qui devient ravageur lorsqu’ils sont associés. Forme-pensée comme tout élément constitutif du Vivant, le grand rêve psychique constitutif de Ce Qui Est, un virus est de ce fait à considérer avant tout comme un puissant vecteur de changement tant par les nouveaux codes génétiques que les programmes-mémoires qu’il contient en provenance de l’anti-matière, du non-temps (les mémoires karmiques). En effet, dans la mesure où il se greffe à l’ADN et à ses acides aminés protéinogènes, il offre la possibilité par ses antennes protéiques d’une mutation génétique « bénéfique » à l’évolution de conscience humaine, et ce à partir du moment où l’individu contaminé « accepte d’accueillir » cette mutation comme quelque chose de bénéfique quels que soient les symptômes manifestés ! Le virus chinois comme ses coreligionnaires ne sont donc dangereux que pour celui qui ne les intègre pas comme une possibilité de mutation, et qui lutte contre eux, d’autant plus sous l’effet de la peur. Et ils deviennent encore plus dangereux par leur synergie à partir des cristaux liquides qu’ils contiennent avec les fréquences de 3600-3800 MHz propres à la technologie de la 5-G, qui plus est associées aux adjuvants contenus dans les « vaccins saisonniers » et aux fréquences qui affaiblissent l’immunité des « individus ordinaires » inconscients des effets destructeurs de ces ondes, dans la mesure où l’ADN, en raison de sa forme spiralée, agit comme un amplificateur et une antenne universelle, tandis que les protéines agissent comme un spécificateur de l’information reçue en raison de leur structure géométrique. La technologie 4-G comme 5-G n’est pas seulement responsable de la chute de l’immunité chez l’humain, elle l’est pour l’ensemble du vivant. Elle a pour objectif de bloquer tout le processus épigénétique du monde vivant de 3ème densité de conscience, notamment pour empêcher les êtres humains de s’échapper de leur geôle mortifère en cette période cruciale qui voit l’onde du changement en cours offrir aux « élus » - les êtres humains initiés par la connaissance et leur transformation intérieure profonde - l’ascension hyper-dimensionnelle dans une nouvelle dimension de conscience, la Nouvelle Terre. Autrement dit l’amorce de la sixième civilisation humaine en mode « Service d’Autrui » !

En dépit de sa taille minuscule, un virus est un être vivant qui, au nom de la loi fondamentale du Vivant - « tout faire pour vivre » -, a besoin d’énergie pour lutter contre la force d’attraction qui l’attire irrésistiblement comme tous les éléments vers le centre de la terre, le retour au « point zéro » (Cf. loi physique P=m.g.). C’est pourquoi, si le virus attaque notre organisme, c’est pour contrôler l’énergie des cellules saines (plus de 10 000 milliards) qui nous maintiennent en vie par le biais des protéines de surface et l’acheminement par le sang des nutriments qui les ravitaillent. Il en résulte par les réactions chimiques provoquées (métabolisme) la maladie, celles-ci étant incompatibles avec les cellules saines. Par déficience immunitaire (manque de globules blancs), ceci se traduit souvent par la mort. Toutefois, de par la loi de réciprocité, la chaleur que nous partageons avec les virus organisée autour des atomes de carbone, d’hydrogène... et que nous recevons par les rayons solaires et leurs photons, élimine la plupart des virus à structure très simple présents dans l’air, ce qui n’est pas le cas des virus in vivo (type HIV, Ebola, Sras, Covid-19...), ceux-ci puisant dans des pratiques alimentaires à haut risque (animaux contaminés mangés crus par exemple). Seul le respect de strictes règles d’hygiène peut nous en prémunir. Telle le veut la loi de l’homéostasie, phénomène par lequel un facteur clé est maintenu autour d’une valeur bénéfique pour le système considéré grâce à un processus de régulation.

 Il découle d’une simulation de pandémie nommée Event 201 à l’initiative du Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates, destinée sur stricte invitation à des dirigeants leaders pour les préparer à ses conséquences, celle-ci ayant eu en octobre 2019 au Pierre, un hôtel de luxe de Manhattan à New York. Elle était construite autour d’un virus fictif dénommé CAPS, un coronavirus naturel (semblable au SRAS ou au MERS) provenant de chauves-souris, et apparaissant dans la simulation chez les porcs. A noter la participation de médias tels que Bloomberg, une sélection de vidéos et d’audio de haute qualité ayant été mise à la disposition de la presse présente. Trente jours après l’exercice de simulation, le 17 novembre 2019, le premier cas documenté du coronavirus COVID-19 serait apparu, selon des rapports des médias sur des données du gouvernement chinois.


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