Nan ? Tu « utilises les théories de la psychologie sociale, psychologie analytique, psychologie cognitive et neurosciences » ? Pour raconter ces poncifs tellement éculés que j’ai failli m’évanouir d’ennui rien qu’en lisant les titres de paragraphe ? Putain, le niveau baisse...

Peur de l’inconnu et préjugés culturels et sociaux

Un, l’être humain est programmé, toi compris, pour privilégier le semblable au détriment du différent. Ouais : le « racisme » est ontologique. C’est comme ça et c’est pas autrement. Et t’y peux rien. Alors quand tu parles, chais pas où, d’introspection, je peux pas m’empêcher de sourire...
Après, une fois qu’on a fait connaissance et que « l’inconnu » ne vient pas par millions sans que personne ne l’ait jamais invité, on peut négocier.

Deux, ça fait 50 ans qu’on les voit arriver tes copains migrants. Alors pour « l’inconnu », tu repasseras... On sait... On connait... On a payé pour voir !

Trois, pour la peur, là, t’as peut-être raison, dis-donc. Je me demande si ce serait pas en rapport avec l’augmentation exponentielle du nombre de coups de couteau qu’on observe dans les rues des villes au fur et à mesure que tes petits protégés sont plus nombreux. Hein, qu’est-ce t’en dis, le type bien qu’est pour l’immigration quoi qu’il arrive ? Sans parler du reste : vols, agressions, viols, etc.

Quatre, personne ici n’a rien contre les touristes japonais ou américain. Ou danois. Ils viennent, ils dépensent de l’argent, ils repartent. Tu vois : on a pas peur. Conclusion : le problème, c’est pas la différence. C’est ce qu’ils viennent faire.

Cinq, ton article, là, c’est pas un article contre « la haine ». C’est un article pour dire comment que t’es quelqu’un de bien, toi, par rapport à ceux qui pensent pas comme toi. Ton article, ce qu’il dit, c’est « Moi, j’ai pas peur de l’inconnu, moi, et en plus, j’ai pas non plus de préjugés culturels et sociaux, moi ». Ce qui me fait sourire pour exactement la même raison que plus haut. C’est bien la peine de parler de psycho...

La compétition pour les ressources

Intéressant. L’économie d’un pays, c’est une écologie. Et l’écologie, ça repose sur certains équilibres. Toi qu’es un type bien, t’es forcément écolo. Bien sûr ! Alors tu vas comprendre. Quand tu laisses venir des millions de très très très très pauvres qui viennent s’installer aux frais des autochtones, dont le nombre a tendance à baisser car c’est comme ça dans les sociétés avancés, tu romps les équilibres économiques : l’économie française était faite pour supporter les pauvres que la société française produisait . Peu de pauvres = pays riche. La France d’avant... Car maintenant, le Bien, enfin, TON Bien exige que le peuple français accueille tous les très très très très pauvres du monde entier qui nous font l’honneur de vouloir venir s’installer chez nous à nos frais... Quelques-uns, ça va. Pas de limite = rupture d’équilibre inévitable. La rupture a eu lieu il y a longtemps. Maintenant la France s’appauvrit. Le problème de l’espèce invasive dans l’étang jusque là seulement peuplé d’une espèce autochtone.

L’influence des medias et de la propagande

Citation : « Il est important d’être conscient de l’influence des médias et de la nécessité de promouvoir une représentation équilibrée et juste des différentes cultures et communautés » : tu veux dire comme la tienne ? La représentation « équilibrée » qui est pour l’immigration sans limite ? Equilibré = sans limite. Bien sûr ! Ha ha ha... Tu devrais pas parler de psycho : tu la déshonores. La psycho, c’est pas le Bien.
D’autre part, c’est bien connu : en France, les media sont essentiellement contre l’immigration. libé, le monde, l’obs, france inter, ouest-france, la 5, arte, etc, tout ça, c’est soutien de Le Pen et Cie...

Tu es mauvais. Tu en es là où j’en étais à 17 ans : jeune et con. Sauf que toi, c’est vieux et con. Ce qui est plus grave. Ça t’est déjà arrivé de changer d’avis ? T’as raison : t’as pas besoin puisque tu représentes le Bien ! Exactement la raison pour laquelle les gens comme toi êtes maintenant 15% de la population. Les beaux principes contre la réalité.