Suite :
En considérant que l’excès de BAO est source d’émission de bosons,
expliquant une grande inflation au tout début de l’univers, par
triangulation avec vibration du filament et du trou noir à
proximité, nous suggérons qu’un tel événement contracte
durement l’espace-temps, lui faisant perdre temporairement et
localement beaucoup de son énergie. Nous suggérons qu’à
destination, l’espace-temps est excessivement dilaté, puis
désintégré en photons de haute énergie, Quoi qu’il en soit, nous
pouvons corréler ces attentes avec l’équation μ(x)=x/(1+x) de la
théorie Mond, où 1 est la courbure de l’espace-temps du trou noir
galactique, Nous considérons les émissions de bosons de Higgs
responsables de la contraction de l’espace-temps et les absorptions
de bosons de dilatation de l’espace-temps. Cette perturbation de
l’espace-temps implique également la désintégration en bosons
disjoints, tels que c², et les bosons de Higgs courbent ou dilatent
l’espace-temps au lieu de donner de la masse aux fermions, telle une
symétrie de l’interprétation classique de Higgs. Nous pouvons ainsi
entrevoir les prémisses de Fundamond (3).
Cependant,
l’aplatissement du plan galactique est ostensiblement du fait que
l’émission de bosons gravitationnels surgit lorsque les
innombrables croisements entre ondes gravitationnelles provoque les
gouttes d’espace-temps propre à sa nature quasi-liquide sans
bordure. La nature sphérique de l’astre galactique est ainsi
redondant à travers l’univers.
La pression négative
du vide, à savoir p, notamment p+dp (dp tel le boson de Higgs)
préserve ainsi le plan stellaire galactique de toute perturbation.