Sans l’abondance de chroniques n̶é̶c̶r̶o̶p̶h̶a̶g̶e̶s̶,̶ ̶o̶u̶p̶s̶,̶ ̶n̶é̶c̶r̶o̶p̶h̶i̶l̶e̶s̶,̶ ̶o̶u̶p̶s̶ ̶d̶e̶r̶e̶c̶h̶e̶f̶ nécrologiques dédiées à ce « g̶r̶o̶s̶ grand homme » sur le site, nous aurions pu, pauvres mortels que nous sommes, passer à côté de l’illumination . Qu’il est bon de découvrir de tels prodiges, bénéficiant de surcroit de l’ascendance incontournable, sans laquelle nul talent ne peut, ni exister, ni percer, chacun l’aura compris .
C’est d’ailleurs uniquement par le fait que la France, dans son impréparation totale, ne compte que 0,69% d’êtres supérieurs pour 99,31% de quasi humains, que la culture n’a jamais vraiment pu y fleurir, et que notre Mozart national n’a donc pu la trouver dans notre (son ?) pays...
Que l’être de génie ainsi encensé (par deux fois, c’est dire la qualité du personnage) se soit parfois fourvoyé dans des discours parfaitement orientés, de mauvaise foi et partiaux ne retire rien à sa superbe, qu’on se le dise dans chaque hameau de Fronce...
Sinon, je sais, pas le physique... !
Mais l’illustration m’a irrésistiblement rappelé cette réplique de Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière (une des rarissimes exceptions à la règle universellement acceptée du génie des 0,69%) :
« Gros et gras, le teint frais, et la bouche vermeille, un Tartuffe parfait... »
Je ne sais pas si c’était « un bon coup », mais un « bon coup de fourchette », surement...