Dans cette partie 4/7, je vous expose des données à propos de la Pyramide de Khéops.

 

Mais ces données étaient trop extraordinaires, et mon niveau scientifique trop faible, pour que je puisse en saisir tous les aspects. Ainsi je vous ai livré des informations non satisfaisantes, ne permettant pas à tout le monde d’y voir ce que j’y voyais.

 

Heureusement, en discutant de tout ça sur Internet avec quelqu’un de sympathique, fort patient et calé en Sciences, il m’a fait comprendre certaines choses, et je pense être maintenant en mesure de vous partager ces données d’une manière plus intelligible.

(Je vois que cet article ne passe pas à la modération, je pense savoir pourquoi : je remets tous les calculs avant la conclusion. Ils étaient dans mon article 4, et je ne voulais pas surcharger celui-ci, mais le titre en perdrait de sa superbe si je n’apportais pas les calculs dont je parle. Je prie aux modérateurs de bien vouloir m’excuser pour la gène occasionnée, et pour ma têtenlairité remarquable).

 

 

Oublions nos idées préconçues et essayons d’imaginer un objet quelconque, noté K, placé sur un endroit quelconque de la Terre.

 

 

Ici je vais parler de trois valeurs extrêmement précises, qui n’ont à priori aucun lien entre elles, mais qui sont connues de tous.

 

 

Pour rendre mon propos plus abordable, on se servira des termes Alpha, Beta et Gamma pour désigner ces valeurs.

 

 

L’objet K, de par sa forme, fait naturellement le lien entre Beta et Gamma, avec une précision de l’ordre de 99,95 %.

 

K a une base carrée de côtés X = 440, et une hauteur Y de 280.

 

 

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En regardant sur Google Earth, on voit que la latitude de l’objet K, convertie en décimales,

encode Alpha avec 99,99999 % de précision.

 

 

 

C’est peut-être une simple coïncidence, car qui cherche trouve, et il y a une infinité d’endroits sur Terre capables de nous offrir une caractéristique semblable. Avec la loi des grands nombres, ça peut tout à fait se comprendre qu’un objet tombe pile poil dessus.

 

 

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Les côtés de la base, de taille « 440 », nous permettent d’en déduire les périmètres du cercle circonscrit et du cercle inscrit.

 

 

 

Faisons le calcul suivant : périmètre du cercle circonscrit - périmètre du cercle inscrit.

Le résultat, converti à l’aide d’une clé mystérieuse, la clé CFH, nous permet d’obtenir une approximation de Alpha à 99,998%.

 

 

 

Cela pourrait aussi être une coïncidence, car la clé CFH est arbitraire. Si on choisit la clé qu’on veut, on peut tout faire dire à ce 440.

 

 

Cependant, on remarque déjà que c’est très étonnant, de retrouver Alpha deux fois sur le même objet, avec autant de précision, sachant que la clé CFH est simpliste ( Pi / 6 ).

 

 

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Maintenant, à partir des dimensions de l’objet K, en additionnant la moitié de X à Y, obtient Z.

Or, Z, converti avec la clé CFH, nous donne une approximation de Beta , avec 99,999 % de précision.

 

 

 

Peut-il s’agir d’une coïncidence ?

Quelles sont les probabilités qu’un même objet, qui nous offre naturellement un encodage de Alpha à 99,99999 %, nous permette d’obtenir de nouveau Alpha, à 99,998 %, et Beta, à 99,999 %, avec une seule et même clé, simpliste, qui est Pi/6 ?

 

 

Je rappelle que Alpha et Beta n’ont à priori aucun lien.