@Eric F
Je comprends mieux ce que vous vouliez exprimer, vous avez préféré pendre un risque professionnel plutôt que de plier à des contraintes que vous considériez humiliantes.
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j’ai trouvé un article sur le comportement des entreprise, Il a empiré c’est vrai, mais quand j’étais dans le monde du travail, fonctionnement était celui des grosses entreprises ;
Pourquoi parler aujourd’hui
du Management totalitaire (Albin Michel), enquête inédite
très fournie de la journaliste de Marianne Violaine des
Courières ?
D’abord parce qu’il apparaît
clairement que ce sujet n’est pas étranger au mur de méfiance qui
s’est construit entre les entreprises et les salariés français,
aujourd’hui vent debout contre la réforme de retraites. Ensuite
parce que la façon dont notre Président traite la start-up nation
France relève pour une grande partie de ce management totalitaire
dont a accouché le capitalisme anglo-saxon qui, peu à peu, chez
nous, a pris le pas sur la « culture capitaliste sociale qui,
jusqu’à présent, faisait l’honneur des grandes société du CAC
40 ». La désindustrialisation, en faisant la part belle au secteur
tertiaire, en a été le catalyseur : « On n’évalue plus le
salarié selon son savoir-faire, ses compétences et ses actes, mais
selon son comportement et ses particularités cognitives. » C’est
le wokisme managerial :
Tout cela se traduit « par une
implacable sélection entre les forts et les faibles, entre les
charismatiques et les timides, entre les empathiques et les asociaux
» : « Les évaluations comportementales, les méthodes
de management psychologisantes et l’infantilisation des personnes
réduisent le libre-arbitre des employés. Au point de ne plus savoir
penser par eux-mêmes.
Au point d’accepter d’être des
exécutants au service d’une institution qui pourrait les évincer
à leur tour, au moindre faux pas. »
position ce que j’ai toujours refusée