@Eric F « Or pour ceux qui se réfèrent à la religion, Jésus a écrit que le royaume divin n’est pas de ce monde, en renvoyant le pouvoir d’ici bas au régime en place (César). »

Le Royaume de Dieu n’est pas de ce Monde car l’homme est pécheur, et quoi qu’il fasse, il ne pourra jamais réaliser le paradis sur Terre (ce que prétendent pourtant de manière illusoire les francs-maçons, les protestants et les juifs).
L’homme doit faire de son mieux auprès de ses prochains pour mériter le Salut :
« Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée ; et on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes oeuvres, et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux. »
Matthieu 5:14-16

Dans la civilisation chrétienne européenne, il y avait hiérarchie des pouvoirs : le pouvoir spirituel (le Pape) dominait le pouvoir temporel (le Roi). Le Roi hérite de père en fils de la couronne comme bras légal du Christ sur Terre, depuis l’allégeance et l’onction de Clovis validée par le testament de Saint Rémi, transmis de père en fils par les Rois de France, depuis Clovis jusqu’à Louis XVI.

Le Roi se doit de servir le peuple dans la justice, la vérité, le bien commun, l’humilité et la charité, car telles sont les lois morales de l’Esprit imposées par Jésus Christ. Le Roi ne peut se départir de ce serment et des lois du Christ, sinon, il est sanctionné, comme à Canossa, où le Roi a du s’agenouiller devant le Pape, le Vicaire du Christ sur Terre.

Depuis 1789, le religion maçonnique a éliminé le serment Divin ainsi que le lieutenant du Christ du trône, pour lui substituer la toute puissance du pouvoir de l’homme contre Dieu, avec sa principale arme : la cupidité du Démon Mammon, l’argent.