@lecoindubonsens
La base de tout et son essentiel est que le travail de tous et l’effort utile de chacun sont les fondements d’une société qu’elle qu’elle soit.
Le fait de déconnecter le dollar de l’or sans le lier a une autre richesse reconnue génère le rêve d’une société où le droit à la paresse existe comme le gendre de Marx et Sardine Ruisseau l’ont soutenu puisqu’il suffit d’imprimer du papier ou de faire une double écriture pour avoir une énergie dont la source n’intéresse personne.
A quoi bon deviser sur ce qu’il faudrait faire (j’ai évidemment plein d’idées comme tout le monde) si on laisse le peuple croire à la création de richesse et à une corne d’abondance chiffrée par le PIB et martelée par les médias qui y croient eux-mêmes car ils sont beaucoup plus incompétents que vicieux.
Lorsqu’un train glisse vers le précipice, il n’est pas utile de se demander ce qu’il serait utile de faire demain. Il faut d’abord arrêter le train.
Arrêter le train aujourd’hui c’est limiter la monnaie à son équivalent richesse reconnue des Français. Sans cela, personne ne touchera aux questions essentielles, difficiles et désagréables de choix de ce que l’on ne paiera dorénavant plus. Penser que les parlementaires votent des budgets déficitaires en croyant à la réation de richesse, pousse à les renvoyer dans leurs foyers avec des bonnets d’âne. Il devrait y avoir dans la constitution une interdiction absolue de dépenser davantage que ce que l’on gagne. C’est vrai pour un ménage comme pour une entreprise et un état. Mais choisir les dépenses que l’on arrête est hors de portée de ceux que nous avons élus.