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Commentaire de Seth

sur Quand Brassens ciblait (involontairement) le personnel politique


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Seth 8 septembre 2023 15:02

@Fergus

Les « paroles reprises » peuvent être le signe de leur simplisme, les comptines en sont la preuve.

Le jazz aime bien les trucs simplets sur lesquels on improvise et on varie, c’est même leur production et ce n’est pas une signe de qualité.

Les écoles portent des noms en fonction des soi disant engagement politiques des communes, or Brassens était classé « à gauche » à l’époque de la jeunesse de ceux qui sont élu présentement et qui ,n’aiment pas se casser la tête pour nommer un bidule. Perso je suis dans une rue renommée « Simone Veil ». Et bien sur les décideurs sont... à droite.

L’académie française est un repère de vieux sans talents, sans goûts et sans qualité, inconnus pour la plupart. Leur choix est plutôt une baffe dans la figure de ceux qu’ils désignent comme une vieille figure de musée de cire.

Les reprises sont facilement justifiées : c’est facile, c’est connu et populaire, tout le monde y va de son refrain mais la majorité n’a pas forcément raison. Sinon Bézu serait sur un piédestal.

Disons qu’il est bien tombé, au bon moment chez les bonnes personnes et dans la contestation ambiante de ce temps-là à laquelle, d’ailleurs, il n’a jamais pris part.
Il a fait de bonnes affaires tout comme son pote Le Forestier.

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