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Commentaire de charly10

sur De l'urgence climatique à l'urgence d'apprendre à compter


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charly10 13 septembre 2023 18:13

L’effet de serre a été mis en évidence, dès le XIXe siècle, par d’éminents scientifiques comme Joseph Fourier ou Svante August Arrhenius.

Depuis cette époque, ce mécanisme a fait l’objet d’une multitude de travaux qui ont montré la complexité réelle d’un processus apparemment simple. Par exemple, la distribution verticale des gaz joue un rôle capital dans l’effet de serre.

Le CO2 renverrait vers la Terre une partie du rayonnement piégé dans le spectre infrarouge, et il en résulterait une élévation de la température « moyenne globale » à la surface de la Terre. Ce phénomène radiatif improprement appelé « effet de serre » a des défenseurs et des adversaires entre lesquels le débat est souvent impossible.

Au début des années dans les années 90 2000 de très grands spécialistes du climat comme Richard Lindzen ou Roy Spencer, Tim Palmer, ont quitté les comités de relecture GIEC parce qu’en désaccord avec les thèses sur lesquelles était orienté cet organisme, en matière de source du réchauffement, et aussi vu l’orientation politique de cet organisme. 

Les sciences du climat ont été dès la création de l’IPCC ( GIEC ) en 1988, sous tutelle ONU, prises pour cible par un important mouvement politique écologique dont l’effort principal est d’associer les désastres naturels du système terrestre aux activités humaines, en créant la peur ; Bref, on peut constater que l’argument climatique développé par les politiques, une fois de plus, ne sert qu’à justifier des taxes, et favoriser les phénomènes spéculatifs sur la nature, en jouant sur la peur et la culpabilité des citoyens.

 Les présuppositions sur le rôle essentiel du CO2 anthropique dans le réchauffement climatique sont passées de l’hypothèse, au postulat. Elles sont devenues des vérités par la grâce « performative » des spécialistes du GIEC. 

«  La rigueur scientifique des analyses diffusées par le GIEC, a été sacrifiée et il va inévitablement en découler des décisions politiques inadaptées. Il y a une part imprévisible dans le climat que la science ne pourra jamais appréhender. » Dixit Roger Pielke senior, en 2005 encore une autre référence en climatologie.

Comment croire que les prédictions issues de modèles mathématiques soient correctes, alors que les mécanismes essentiels des échanges et des rétroactions positives et négatives sont encore très mal compris et font toujours l’objet d’âpres discussions entre les chimistes, les physiciens, les climatologues, les géophysiciens.

 


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