Tiens c’est la première fois que je m’abaisse à lire du Rakoto...
C’est juste parce que j’ai intimement connu Hubert, un vieux copain de lycée de mon père, complice, convive et pilier de toutes nos fêtes de famille. Je le rencontrais souvent place Saint Germain des prés, en rentrant d’Henri IV. Il aimait bien les jeunes garçons comme moi ou mes frères bien que s’en tenant à de tendres, élégantes, comiques et très spirituelles conversations. Et pis un jour, son appartement, de la rue Gozlin je crois, y a brulé, tous ses souvenirs ciné-théâtre-cabarets partis en fumée... Triste.
Merci d’évoquer sa mémoire bien oubliée.