@Luc-Laurent Salvador
Popper l’ avait très rigoureusement expliqué :
Une tolérance sans limites ne peut que mener à la disparition de la tolérance. Si nous étendons une tolérance sans limites même à ceux qui sont intolérants, si nous ne sommes pas préparés à défendre une société tolérante contre l’assaut des intolérants, alors les tolérants seront anéantis, et avec eux la tolérance.
Les enseignements de Jésus prétend que l’amour peut tout résoudre (le pardon mieux que la justice, tendre l’autre joue, rengainer l’épée...).
Mais je n’irais pas plus loin ici, c’était pour répondre à un de vos messages facebook, et ce n’est pas le sujet de votre article, nous aurons peut-être l’occasion de confronter cette question ailleurs.
Sur celui de votre article, et les biotechnologies, nous sommes d’accord sur le fond. Déjà, les escrocs sanitaires le savaient-ils dès le départ ou pas, la partie dangereuse du corona est justement la protéine de pointe : injecter ça, c’est donc injecter la partie pathogène du virus.
Des études ont démontré aussi la forte toxicité des cellules lipidiques qui contiennent les brins d’ARNm.
Concernant les nanographènes, il y a un doute, qui peut diviser le milieu anti-injections contre l’ARNm et on n’a pas besoin de ça (je croyais aussi). momotchi a levé le quiproquo sur les réseaux sociaux. La QuintaColumna, dans certaines de ses démonstrations vidéos, a utilisé des microscopes pour enfants, alors qu’il faut au moins des microscopes à balayage électronique qui commencent à peine à pouvoir observer des atomes.
https://twitter.com/mmtchi/status/1643273107577229312Donc moi, je suspend mon jugement sur la question.
Ça n’empêche pas qu’on nous fait bouffer et respirer des saloperies nanotechnologiques depuis plus de 20 ans, sans que les divers et nombreux organismes de protections sanitaires payés par nos impôts y mettent le nez dedans, sauf pour nous mentir que tout va bien avec ça. Et quand on nous raconte de la merde qu’on nous fait bouffer, c’est normal et sain qu’on soit suspicieux de ces faux vaccins aux contrats secrets encore payés par nos impôts qu’on nous injecte de force. Et ça ne méritait pas non plus de tuer un Andeas Noack, même si, pourquoi pas, il s’était trompé : on vit dans des pays dont les dirigeants s’autorisent des crimes en toute impunité.