@Mélusine. Je ne vous ai jamais dite virile ou seulement masculine. Que l’animus vous serve d’esprit est une évidence, proprement féminine en tant que telle. @Gollum vous expliquera volontiers que Jung ne parle pas d’animus mais d’anima pour l’homme. Nos contemporains le diraient sexiste... Quant aux monothéistes, je les ai bien dits efféminés jusque dans la figure du moudjahid : vous êtes clairement de cette trempe, dans votre genre « ésotériste ». Mais @Gollum est panenthéiste, c’est différent, plus guénonien certainement, et à ce titre plus spirituel. Car ce qui vous sert d’esprit n’est avant tout qu’un bric-à-brac, qu’un Rubik’s cube. Et vous en sortez si peu, que vous n’en sortirez pas, tant vous usâtes malgré vous de la méthode Coué. Je ne dis pas cela méchamment, mais je pense que votre propre paranoïa contre votre lesbianisme fondamental déteste ça et se réfugie cubiquement dans votre « féminité ». Attention : si des Adler ont pu qualifier le lesbianisme de « protestation virile », personnellement et pour mon malheur, j’ai toujours été attiré sexuellement par les lesbiennes, car je les trouve assumées dans leur genre (c’est le cas de le dire). Donc bien loin des Penthésilée, car les Amazones ne sont pas lesbiennes du tout. Je suis bien plus proche de ce que Jean Markale nommait homme lesbien, quoi que je récuse le celtisme farfelu de cet auteur (mais ledit concept n’avait rien à voir avec le celtisme en tant que tel). Par quoi naturellement, je ne peux pas rejoindre @Gollum non plus, dans son genre. Bref, dans une autre vie @Mélusine, nous aurions pu nous aimer, mais vous prenez votre paranoïa pour autrui, et votre féminité est animeuse.