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Commentaire de Renaud Bouchard

sur La guerre qui sidère ou quand l'attaque du Hamas déplace les balises, les engrenages et le front de la guerre éternelle


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Renaud Bouchard Renaud Bouchard 10 octobre 2023 20:05

@Clocel
Bonsoir Clocel et merci pour cette information ahurissante.

Ces gens sont fous, aveuglés par leur haine au point de dire n’importe quoi et d’oublier que chez le voisin, en Iran, d’autres gens pourraient n’avoir eux aussi aucun état d’âme à atomiser Israël. Il est évident que l’Iran, à l’instar d’Israël qui est resté très longtemps discret sur la détention de l’arme atomique, a lui aussi franchi le seuil nucléaire depuis très longtemps.

Ce parlementaire n’est pas le seul, accompagné par des politiques et des militaires idiots, a décompenser en fureur énergumènes.

"L’usage d’une arme nucléaire dite tactique procède d’un glissement sémantique qui correspond avant tout à un distinguo militaire trompeur. Les armes nucléaires tactiques se différencient de leurs ainées stratégiques tout d’abord « à cause de raisons techniques liées à la physique », explique Alexandre Vautravers, expert en sécurité et en armement et rédacteur en chef de la Revue militaire suisse (RMS).Là où un missile balistique nucléaire cherche à frapper fort sur tous les tableaux – souffle de l’explosion, impact thermique, rayonnement des radiations et des perturbations électromagnétiques –, avec l’arme dite « tactique », "on cherche à maximiser l’onde de choc et minimiser les autres effets pouvant être indésirables, si les propres troupes de l’utilisateur de l’arme ont prévu de traverser la zone battue", précise ce spécialiste...Les armes nucléaires tactiques sont présentées comme étant plus précises et leurs effets plus limités : "L’explosion a lieu à très basse altitude ou au niveau du sol ; l’objectif est la destruction d’une infrastructure ou d’une cible précise et les effets peuvent se limiter à un rayon de quelques centaines de mètres à quelques kilomètres", précise Alexandre Vautravers.D’un point de vue opérationnel, c’est l’ultime recours sur le champ de bataille quand une armée fait face à un danger que les armes conventionnelles ne sont pas en mesure d’écarter efficacement, ou pour viser un objectif trop grand pour de simples missiles. Il pourrait, à ce titre, être utilisé pour détruire une colonne de chars qui s’avance vers la ligne de front ou pour viser une base aérienne militaire d’une taille importante."

Veuillez lire ci-après le texte complet de la note précitée :https://www.france24.com/fr/%C3%A9co-tech/20221010-nucl%C3%A9aire-tactique-le-mirage-de-bombes-moins-d%C3%A9vastatrices


Bien à vous, Renaud Bouchard

 



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