@Alain Alain
Un
instrument lancinant : le mythe de la vie éternelle, une
arnaque malicieuse des zélites.
Le
mythe d’Osiris veut que ce « dieu » issu d’une vierge a été tué
et fut ressuscité, grâce à l’aide de sa sœur Isis.
Cela
ne vous rappelle rien ?
2400
ans avant notre ère, le mythe d’une vie éternelle, calquée ici
sur celle du renouveau annuel des cultures végétales, est instauré
par le pharaon et ses sbires comme fondement du contrôle social.
Ce
mythe a été diffusé d’un seul coup, au 25è siècle avant notre
ère, signe évident d’une propagande du système royal du moment.
Champollion,
décryptant ce mythe égyptien, bien antérieur à l’apparition du
système social de la chrétienté, fut horrifié du danger d’en
parler à qui que ce soit, et se garda d’en faire une publication
de nature à lui faire subir les foudres de tous les pouvoirs en
place : royauté, église, et bourgeoisie.
Quelques
siècles plus tôt, c’était la torture et le bûcher.
Le
croyant ne manquera pas de réfuter cette évidence, avec les
arguments spécieux développés sans aucun fondement dans toutes les
théologies.
Si
on est sain d’esprit, on comprend que la répétition de ce mythe
d’une vie éternelle démontre la propagande du pouvoir des castes
dominantes sur la masse des castes inférieures.
La
base de ce pouvoir est d’imposer que les inégalités sont
normales, doivent être acceptées comme inévitables, et découlent
d’une prétendue culpabilité de ceux qui en souffrent.
On
le retrouve dans toutes les religions, y compris certains animismes,
parfois travesti dans la propagande de la réincarnation répétitive,
qui prendrait fin avec celle du karma, carotte proposée aux ânes
défavorisés des castes inférieures.
Si
on est sain d’esprit, on comprend que la répétition de ce mythe
d’une vie éternelle démontre la propagande du pouvoir des castes
dominantes sur la masse des castes inférieures.
Attention mélusine : ne vous illusionnez pas, vos logorrhées sont soigneusement évitées par les esprits sains, et sont destinées à la poubelle d’avox. Pardonnez nous de penser que vous raisonnez comme un tambour.