« Elles sont apparues par petites touffes en aval du pont de Bellerive, là où il y a peu de fond, et aussi au niveau des restaurants vers le quai d’Allier. Il fallait intervenir », indique Bruno Tuizat, directeur du centre technique municipal. « Ce soir, nous devrions les avoir toutes enlevées. En volume, cela représente une benne environ ».

La Ville a acheté un bateau spécial en 2014

Pourquoi ce retour après deux années sans ? Même si l’origine et les conditions de développement de cette plante aquatique restent assez mystérieuses on sait que la chaleur est un des facteurs favorables. Ainsi que la turbidité de l’eau : l’élodée a besoin de lumière, elle se développe dans des eaux claires. « Mais là, en l’occurrence, il y a de la turbidité, d’où la faible quantité d’élodées ; il ne faudrait pas que l’eau du lac s’éclaircisse », indique Bruno Tuizat.

Ce retour est un mal pour un bien tout de même : c’est l’occasion pour le bateau faucardeur, qui ronge son frein depuis plus d’un an, de se dégourdir les roues. Après deux étés de prolifération des algues, la ville de Vichy avait décidé d’acquérir un faucardeur. Livré début 2014 et baptisé « Le Vichy », le faucardeur avait coûté 280.000 € hors taxe.

« Elles sont apparues par petites touffes en aval du pont de Bellerive, là où il y a peu de fond, et aussi au niveau des restaurants vers le quai d’Allier. Il fallait intervenir », indique Bruno Tuizat, directeur du centre technique municipal. « Ce soir, nous devrions les avoir toutes enlevées. En volume, cela représente une benne environ ».

La Ville a acheté un bateau spécial en 2014

Pourquoi ce retour après deux années sans ? Même si l’origine et les conditions de développement de cette plante aquatique restent assez mystérieuses on sait que la chaleur est un des facteurs favorables. Ainsi que la turbidité de l’eau : l’élodée a besoin de lumière, elle se développe dans des eaux claires. « Mais là, en l’occurrence, il y a de la turbidité, d’où la faible quantité d’élodées ; il ne faudrait pas que l’eau du lac s’éclaircisse », indique Bruno Tuizat.

Ce retour est un mal pour un bien tout de même : c’est l’occasion pour le bateau faucardeur, qui ronge son frein depuis plus d’un an, de se dégourdir les roues. Après deux étés de prolifération des algues, la ville de Vichy avait décidé d’acquérir un faucardeur. Livré début 2014 et baptisé « Le Vichy », le faucardeur avait coûté 280.000 € hors taxe.