Merci @ l’auteur pour le partage.
« Les vieux mourront et les jeunes oublieront »
qu’il disait le polonais David Grün, alias « Ben
Gourion », or force est de constater que non seulement il
avait tout faux le $ionnard, mais que plus les palestiniens de tous
âges et sexes meurent pour, dans et hors leur pays, moins ils l’oublient et
moins ils lâchent l’affaire !
D’où peut être la blague désillusionnée, aussi populaire que
prémonitoire circulant dans les bars de Tel Aviv il y a quelques
années : "Un juif israélien optimiste apprend
l’arabe, un juif israélien pessimiste apprend l’anglais, un juif
israélien réaliste apprend à nager ».
Sauf a le génocider jusqu’à ses derniers nouveaux nés, aucune
force ni puissance au monde ne peut venir à bout d’un Peuple
défendant son droit a vivre libre sur sa terre ancestrale.
Aucun pouvoir sur terre, comme aux cieux, ne peut couper le lien
quasi charnel enracinant un Peuple à la terre de ses aïeux.
Toutes
les larmes et le sang palestinien que les judéonazis ont fait et feront encore
couler, même toujours aussi impunément, à Gaza ou ailleurs, afin de briser ce lien
viscéral des palestiniens à leur terre-mère, n’empêchera en
rien, tout au contraire, la libération de la Palestine et
l’inéluctable disparition de l’ultime apartheid de l’Histoire, autoproclamé voila
plus de 75 ans.
Au train d’enfer où les évènements s’enchainent, on peut même douter
que le dernier état colonial et ségrégationniste, excusez le
pléonasme, puisse fêter ses 80 années de sanglante
existence.
Le
c(h)ancre occidental ataviquement suprémaciste est il capable de
comprendre cela ?
On est en droit d’en douter, en tous cas les juifs israéliens les plus lucides eux
l’ont compris.
Puisse l’admirable résistance et la non moins magistrale résilience des
palestiniens, inspirer tous les peuples opprimés de la terre, y
compris ceux se croyant libres comme le Peuple français, du
moins ce qu’il en reste à présent d’attaché à sa vieille patrie . . . Au point de se sacrifier pour elle. . .