Commentaire de Octave Lebel
sur Taha Bouhafs, la véritable « affaire » qui salit LFI
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Elle court, elle court, la caricature....
Un peu fatiguant mais il faut s’y
faire, cela fait partie d’un certain folklore agoravoxien incontournable on dirait.
2384 mots et le recours à des caricatures photographiques façon « wanted » pour tenter d’installer des insinuations afin de salir un mouvement politique. C’est du travail. Cela doit pouvoir se synthétiser en 10 à 15 lignes (environ 255 mots) établissant des faits irréfutables et non la recension de règlements de compte vu l’effort fourni. Ou alors, c’est l’auteur qui vient de se salir vis-à-vis de la recherche de la vérité et vis-à-vis de nous et de notre intelligence et notre perspicacité.
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