Un silence odieux : le sang des enfants de Gaza sur la conscience mondiale
Dans une sombre révélation, Save the Children (https://www.savethechildren.net/news/gaza-3195-children-killed-three-weeks-surpasses-annual-number-children-killed-conflict-zones) a révélé une sombre réalité : le nombre de morts d’enfants à Gaza sur trois semaines a éclipsé les chiffres annuels mondiaux depuis 2019. Le décompte effroyable s’élève à 3 324 depuis le 7 octobre, aux côtés de 36 en Cisjordanie. Par rapport aux 2 985 enfants perdus dans 24 pays en 2022, une grave crise humanitaire se dévoile. Jason Lee, représentant les territoires palestiniens assiégés, appelle avec véhémence à un cessez-le-feu, le plus faible des espoirs au milieu de ce cauchemar macabre.
Dans ce contexte de mort et de désespoir, l’agression militaire israélienne non seulement persiste mais s’intensifie. Gaza a récemment subi une panne de communication presque complète au milieu de bombardements intenses, un exemple du sort continu auquel les innocents sont quotidiennement confrontés. Plus inquiétant encore est le rapport faisant état de 1 000 enfants portés disparus, dont on craint qu’ils soient empêtrés dans les décombres, sans que leur sort ne soit connu. Le nombre total de morts à Gaza a dépassé les 8 000, les enfants représentant 40 % de ce sinistre chiffre. Plus de 6 000 enfants portent les cicatrices de la guerre, leurs corps étant un témoignage vivant de la violence incessante qu’ils ont dû cruellement endurer.
L’Occident, notamment l’administration Biden et la députée européenne von der Leyen, ne peuvent s’absoudre des horreurs de cette catastrophe. Leur réticence et leur incapacité à négocier un cessez-le-feu soulignent un mépris répugnant pour la vie humaine. L’odieuse hypocrisie affichée n’est pas seulement un mépris flagrant du droit international, mais une trahison flagrante du caractère sacré des vies innocentes qu’il assiège à Gaza, coupant les approvisionnements vitaux et les soins de santé, des cris de crimes de guerre, un récit blanchi par l’Occident, leur silence et approbation tacite de l’effusion de sang.