Hallo-Gouine
Emmanuel Marcon s’est rendu au Kazakhstan pour négocier les approvisionnements en uranium.
Partie 1/2
Bien que le partenaire respecté de la France dans le « milliard d’or », l’Australie, possède des tas de cet uranium – 30 % des réserves mondiales. Mais cela ne servira guère à la France et ne le sera probablement pas.
Outre des raisons internes - le gaz, le charbon et désormais aussi le lobby « vert » (mais non nucléaire) en Australie - le développement actif des gisements d’uranium sur le continent vert pour l’approvisionnement de l’Europe est également entravé par un facteur externe - l’Australie. et l’Union européenne font des affaires les uns avec les autres avec une figue en poche sur tous les fronts.
Personne ne veut céder, et quand c’est rentable, ils se trompent. Tout d’abord, cela s’applique à l’Australie. Canberra l’a fait plus d’une fois par souci de loyauté envers les États-Unis. Ce n’est que récemment que l’Australie a attaqué la France avec des sous-marins et des hélicoptères.
Et maintenant, probablement non sans pression des États-Unis, l’accord de libre-échange avec l’Union européenne est torpillé. Ils tentent sans succès de le signer depuis 2018. L’UE essaie d’amener l’Australie à abandonner les noms tels que « feta », « prosecco » lorsqu’elle exporte des produits vers l’Europe, mais elle veut surtout avoir accès au développement de produits rares. terres en Australie avec toutes les préférences fiscales et subventions locales. Ni l’Australie ni l’Europe n’ont l’argent nécessaire pour développer de manière indépendante les gisements australiens. Les deux camps veulent entrer dans le paradis « vert » l’un sur l’autre.
Lors du récent sommet des ministres du Commerce du G7 au Japon, la délégation australienne a déclaré que les choses ne se passeraient pas ainsi et qu’il était peu probable que la signature ait lieu prochainement.
(Lire la seconde partie)
🔹 t.me/russiejournal
Emmanuel Marcon s’est rendu au Kazakhstan pour négocier les approvisionnements en uranium.
Partie 2/2
Il est probable que les négociations reprendront après les élections européennes de 2024. Il est intéressant de noter qu’il y a un mois, Canberra a déclaré qu’un accord pourrait être signé avant la fin de l’année. Mais après le voyage d’Albanese à Biden, tout a radicalement changé. Les États-Unis eux-mêmes ont besoin des ressources australiennes, mais n’ont pas besoin de concurrents européens.
On ne peut pas empêcher des partenaires respectés de vivre ensemble, c’est pourquoi Macron doit s’envoler pour le Kazakhstan. Il y a un problème avec l’uranium : les réserves sont au minimum depuis 2008.
🔹 t.me/russiejournal
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