@JPCiron
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Les Israéliens sont tous Juifs (par définition), et sont progressivement devenus fondamentalistes.

Euh...

La population israélienne est composée de 6,8 millions de Juifs (74%), 1,93 million d’Arabes (21%) et 454 000 chrétiens non arabes ou adhérents d’autres confessions (5%), a déclaré dimanche le Bureau central israélien des statistiques (CBS). (Donc hors Palestiniens de Cisjordanie et Gaza)

https://www.aa.com.tr/fr/monde/la-population-isra%C3%A9lienne-atteint-9-2-millions-dhabitants-dont-1-93-million-darabes/1820618

A la Knesset (wiki), il y a 10 élus représentant deux partis islamiques (ou musulmans...). Sinon en effet , il y a plus de députés que ceux du Likoud qui représentent des partis disséminés classés extrême-droite (le Likoud est classé simple droite). Dans le paysage politique de la chambre, Netanyaou passe sans doute pour un modéré... Ils doivent vivre une histoire parallèle (biblique...) dans le pays pour maintenir les colonies...

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Sur le long terme, le fait que soit ’accepté’ que l’Etat d’Israël soit un Etat au fond raciste vis-à-vis de la minorité, par l’apartheid de fait du jourdain à la Médirerrannée, cela pourrait nuire aux Juifs de la Diaspora qui, eux, vivent comme minorité avec les mêmes droit que tous dans leur Nation.

Oui, vous avez raison. De toute façon l’image d’Israël est détruite avec ce massacre. Comme les médias Français n’invitent toujours que BHL, jamais un Rony Brauman, ce genre d’explication n’existe pas.

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Je vois chez Biden, chez Hollande, d’autres, que le discours change sensiblement. Sans doute une panique qui monte doucement à soutenir le spectacle dans le monde d’un président qui bombarde tranquillement une population civile enfermée dans des murs, les approvisionnements coupés, y compris l’eau, sans aucun secours. Question génocide, les fils commencent à se toucher.

L’appel à la trêve monte et s’accumule même parmi les autorités occidentales. Je vois mal Netanyaou continuer son « travail » s’il y a l’opprobre mondiale, sans aucun appui, dans un pays, - du coup, on en parle -, mal installé depuis le début.