« Votre PE/MR ne peut s’appliquer que si, après la première moitié, il y a décélération de la seconde moitié restante. Sans cela, elle n’a aucun sens, c’est une aberration de votre cogito. »
@Hervé Hum…Pourquoi une décélération serait-elle nécessaire ? L’œuf ne décélère pas. Que l’œuf décélère ou accélère, cela ne change strictement rien au fait qu’il soit passé par sa première moitié puis sur les moitiés restantes. La vitesse n’a strictement rien à voir avec le problème du PE/MR. À partir du moment où il y a mouvement, le problème de comment rejoindre le sol en passant par la première moitié puis les moitiés restantes reste absolument identique. Après, oui, ce qui est aberrant, c’est de ne pas savoir expliquer l’arrivée au sol sans passer par le reste des moitiés restantes. C’est aberrant, effectivement, et c’est là le paradoxe.
Vous dites :
"Car la distance qui sépare le point de départ du point de chute est fixe, elle n’est pas infinie, or, votre PE/MR est un parcours infini »
MExactement, et c’est bien ce qui fait que le paradoxe en est un. Si le parcours était infini, il n’en serait pas un.
Nous sommes ici devant un dilemme. Non seulement on sait que l’œuf ne dépassera pas la durée et le parcours de sa chute, ce qui nous donne un parcours bel et bien fini, mais non seulement pour que ce parcours puisse s’achever, l’œuf doit passer par la première moitié puis les moitiés suivantes dans un ordre chronologique. Et c’est là qu’en dépit de ce que nous observons, le mouvement devient éternel… mais ce qui est démentiel ici, c’est que ce parcours éternel s’exerce dans une chute qui ne dépasse pas une fraction de seconde et un parcours fini de 1.20m…