@Hervé Hum
Avec le PE/MR, la folie réside dans le fait que le parcours est simultanément fini et infini, selon le point de mesure ou d’observation. C’est un peu comme dans la physique quantique, où l’acte d’observation peut influencer l’état d’une particule. Par exemple, dans l’expérience des fentes de Young, si les scientifiques n’essaient pas de déterminer par quelle fente un électron passe, il se comporte comme une onde. Mais en tentant d’observer le parcours, l’électron cesse d’être une onde et devient une masse. Cela suggère que l’observation modifie le comportement de la particule. De manière similaire, si nous déterminons le parcours d’un objet en le percevant à travers nos sens limités dans un univers à 4D, il semble fini. Cependant, si l’on considère les événements depuis la réalité des moitiés restantes et leur passage physique bien réel, le temps devient éternel, et le mouvement semble figé.
Comme dans la physique quantique, le PE/MR représente un puissant paradoxe nécessitant une explication scientifique. Mon article explore l’idée de dimensions supérieures invisibles à nos perceptions sensorielles. Nos sens sont limités pour nous informer sur un univers à 4D mais incapable de percevoir la nature de l’éternité (6D) et de l’infini (5D), d’où les contradictions apparentes. Il est possible que nos questionnements actuels sur le PE/MR reflètent notre incompréhension d’une réalité inconnue au-delà de l’horizon du connu, tout comme un enfant qui apprend que la Terre est ronde se demande comment les gens de l’autre côté ne tombent pas. Il est possible que nos questionnements soient décalés par rapport à la réalité qui s’étend bien au-delà de nos perceptions sensorielles limitées à 4D.