@Grincheux
Mieux connaître l’infiniment grand, c’est avoir des infos sur l’infiniment petit.
Je suis bien d’accord avec vous. D’ailleurs si les physiciens cherchent
la « théorie du tout », c’est à dire un corpus de lois fondamentales
expliquant tous les phénomènes à toutes les échelles, c’est qu’ils
imaginent eux aussi que les fonctionnements de l’infiniment petit et de
l’infiniment grand sont intimement liés.
@Tolzan
Là est bien le problème de fond. Je ne connais aucun exemple.
Alors je vous conseille la lecture de
cet article. L’analyse cinématique
du mouvement keplerien en partant de sa vitesse, décrite en 1845 par
Hamilton, confirme l’équation de l’accélération gravitationnelle de
Newton ... à ceci près que la constante physique GM de Newton est
remplacée par le terme cinématique LvR, L=moment cinétrique, vR vitesse
de rotation de Hamilton. Si Newton fait l’hypothèse indémontrable que le
facteur constant de l’accélération vaut GM, à toutes les échelles et
dans tout l’univers, la cinématique quant à elle n’est en rien
contrainte par un tel postulat indémontrable. Elle peut s’appliquer à
toutes les échelles, à l’instar du théorème de Pythagore qui est lui
aussi applicable à toutes les échelles, sans aucune contrainte physique.
On peut
démontrer d’ailleurs que toutes les caractéristiques de l’atome
d’hydrogène, spectre compris, son explicable par un mouvement keplerien
de l’électron, dans lequel le moment cinétique est quantifié, et sans
utiliser la constante de Coulomb (e^2/4pi epsilon^2).
Cordialement