Si j’ai bien
compris votre article, il s’agit de marche à pied et de téléphone arabe.
Le
christianisme serait passé de Jérusalem à Rome porté par le téléphone arabe,
celui que les commerçants de l’époque utilisaient quotidiennement, la bonne
parole passant de l’un à l’autre.
Quant au
judaïsme, on imagine souvent des marcheurs chassés de Jérusalem par les Romains
et s’installant dans toute l’Europe. Une légende ?
Selon vous,
ce ne serait pas ça du tout, le téléphone arabe aurait fonctionné dans les deux
cas, pour le christianisme comme pour le judaïsme, en parallèle en quelque
sorte (après une première phase commune, réalité peu connue, durant les
premiers siècles de notre ère).
Et dans les
deux cas, les convertis seraient des Européens (au sens large, plus des
Maghrébins cf. Zemmour) de souche qui auraient reçu la bonne parole en bout de
chaîne par téléphonie arabe, générant ainsi les chrétiens et les juifs que nous
connaissons aujourd’hui dans le monde occidental.
Pourquoi
pas, il faudrait être un sacré (c’est le mot) érudit pour vous contredire. Je
n’en suis pas.
Mais j’ai
une question : les « 6 à 7 millions de juifs (qui) n’ont pas quitté les terres de la Palestine » il y a 2000 ans et dont vous parlez (le chiffre m’a paru élevé), s’ils n’ont pas
quitté la Palestine, que sont-ils devenus (50 000 juifs en Palestine fin
XIXème siècle) ? Tous convertis à l’islam ? Seraient-ils devenus les
Palestiniens de Gaza et de Cisjordanie, les « Arabes » israéliens (7
millions au total, aujourd’hui en guerre contre Israël) ?
Sujet
passionnant : d’où venons-nous ? D’où viennent nos idées et donc nos guerres ? Il manque à votre article des
références. Qu’en pensent les historiens ?