@amiaplacidus
Pourquoi « en puissance » ?
Le terme de « psychopathie » a
disparu des classifications des maladiies mentales, mais il est
toujours employé pour un trouble dit "de personnalité
antisociale" qui n’est pas considéré comme une maladie mais
comme le signe d’une personnalité pathologique qui s’exprime
tout au long de l’existence.
Ce trouble psychologique, du
ressort des psychologues,peut être associé à la schizophrénie ou
la dépression bipolaire (autrefois "maniaco-dépressifs) du
ressort des psychiatres.
La « psychopathie »
concernerait 4% des hommes mais seulement 1% des femmes. 60% des
personnes incarcérées sont des psychopathes. Il y aurait un lien
causal entre personnalité psychopathique et délinquance.
La variante politique de la
délinquance, c’est le
syndrome d’hubris qui n’est pas une conséquence de l’exercice du
pouvoir, mais un profil psychologique comportemental qui recherche
son épanouissement par l’accès aux leviers institutionnels
permettant la manipulation des autres.
On peut s’intéresser à la politique
et être militant, s’engager, sans souffrir de ce trouble, mais les
professionnels de la chose, eux, n’y échappe pas, et ça peut se
traduire par des excès de zèle par rapport au cahier des charges
qui leur a été fixé par les détenteurs d’autres pouvoirs comme
ceux de la finance, de l’industrie et du commerce. et leur cas est
d’autant plus.