Après avoir cité l’onu on trouve cela :
"Comme toutes les mesures nommées dans ce texte, il est nécessaire
d’imposer celle-ci progressivement, mais rapidement, car il faut
permettre aux entreprises de s’adapter, même si la situation climatique
reste urgente.«
Ne pas pénaliser les zantrepreneurs avec une écologie trop drastique, faut bien qu’ils gagnent leur pain (les plus gros pollueurs étant aussi les plus ultra-riches, c’est trop inzuste alors plaignons-les).
et puis :
»À mon avis, si les humains tiennent à la survie de leur espèce, ils
doivent laisser tomber les normes et les repères actuels pour accepter
de mettre en place des solutions sévères pour assurer cette subsistance."
Des solutions sévères mais qui ne feraient pas de mal aux zantrepreneurs. La quadrature du cercle en somme. 
Tout cela finit ainsi la conclusion de ce feu d’artifice de la pensée politique profonde :
Toutefois, sans l’appui des idéaux d’une société, un gouvernement démocratique ne peut modeler cette dernière. 
Parce qu’il paraît qu’on demande l’avis des gogos veautant chez Trudeau pour mener le troupeau des mougeons. 
On rigole bien ici mais faudrait expliquer au petit jeune bien pensant qu’on ne disserte jamais à la première personne du singulier.