@titi
Il y plus de 30 ans j’habitais en région parisienne, dans une banlieue populaire.
Le point de deal du quartier était juste en face du commissariat, qui déjà, à l’époque avait pour consigne de ne rien faire.
Les insultes racistes étaient fréquentes : j’étais quasiment le seul blanc de l’immeuble.
Ca a été résolu facilement : j’étais le seul à travailler à ne pas vivre des allocs, du coup dès que j’ai eu les moyens, je suis partis.
Ce qui change désormais, c’est le nombre.
Ce ne sont plus quelques quartiers qui sont interdits aux blancs.
Du coup ça commence à se voir, et la fable du « vivre ensemble » n’est plus tenable.
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Salut titi
c’est ce que vous avez vécu et que vivent maintenant des millions de français.
la fable du vivre ensemble ils l’ont trop entendue ,,alors ils se réveillent ,et la colère remplace la résilience ;
Laurence Ferrari
Nous reproduisons ici le texte intégral
de l’éditorial prononcé par Laurence Ferrari sur
CNEWS le 28 novembre 2023.
Ainsi donc il n’y aurait pas dans
l’air un petit parfum de guerre civile. La France serait toujours
ce pays de cocagne où il fait bon vivre, où les jeunes pourraient
danser dans les bals populaires avec insouciance et légèreté, où
toutes les communautés qui composent la belle nation française
vivraient dans une harmonie heureuse et pacifique.
Désolée, mais cette image d’Épinal
ne correspond plus à la réalité de ce que vivent nos compatriotes.
Ces Français de tous horizons qui
ont été choqués, révoltés par la mort du jeune Thomas à Crépol,
qui – non, désolée – ne sont pas d’extrême-droite et qui en
ont marre de se faire insulter et montrer du doigt par cette gauche
bien-pensante qui nous a conduits, par son laxisme et sa lâcheté, à
la situation présente ;
cette voix, que l’on entend sourdre
dur pays profond, c’est peut-être celle de la France des
clochers et des campagnes, mais c’est aussi celle des braves gens
qui habitent les quartiers populaires aussi, ceux qui se lèvent tôt
le matin pour aller bosser, ceux qui n’en peuvent plus de la
délinquance et des agressions gratuites.
La violence, elle est là, bien réelle,
nonobstant les rodomontades de ceux qui nous gouvernent et qui ont
mis plus de dix jours à tourner casaque et à comprendre enfin
l’onde de choc provoquée par la mort de Thomas.
Il est temps de se réveiller, en
espérant qu’il ne soit pas déjà trop tard.