@sylvain
« subie par les migrants » ? D’où tu sors ça ? Donc ils ont pas le choix, c’est ça ? Hé, t’es pas très doué en psycho, toi... Nan, réponds pas : je le sais. T’es pas très doué en psycho.
C’est marrant, ce ne sont que les hommes en âge de se battre qu’ont pas le choix... Qui « subissent »... Par contre, les femmes, les enfants et les vieux, eux ils ont le choix. Subissent pas. Restent tranquillement à la maison.
Les migrants sont des capteurs d’héritage. De notre héritage. Celui que nos ancêtres européens nous ont transmis grâce à leur travail et à leur génie. Les migrants sont des gens qui viennent de pays qui ont été et qui sont incapables de produire ça. Alors ils viennent le prendre chez les autres. Pourquoi ? Parce que c’est bien plus facile que de le construire par ton travail et ton génie sur 5 générations successives... Et pourquoi ils sont pauvres ? Je viens de l’écrire.
C’est pas seulement plus facile. C’est aussi... possible ! Et là, merci les droits de l’homme. Qui permettent ça. Qui permettent aux capteurs d’héritage, de notre héritage, de venir pour prendre. Pour prendre ce qui n’est pas à eux. Droits de l’homme qui, d’ailleurs, sont exclusivement perçus par cette engeance comme une faiblesse structurelle, à la fois de la civilisation et des habitants. Dont, dans leur culture, on a bien le droit de profiter. Dont on aurait tort de ne pas profiter. « Tu me laisse venir prendre ? Eh bah je prends. Je prends quoi ? Tout ce que je peux ». Ce sont des parasites. Dangereux plus souvent qu’à leur tour.
C’est pour ça que, alors qu’ils savent que les peuples européens peuvent plus les voir en peinture, c’est pour ça, disais-je, qu’ils continuent allègrement à venir nous envahir. Ils en ont rien à foutre. Tant qu’on les laisse, ils continueront à venir. Parce que c’est facile et possible. Parce qu’ils nous méprisent pour notre faiblesse. En plus d’être racistes, évidemment. Merci, les « droits de l’homme »... Merci les gens bien...
Je t’en foutrais, du « subie par les migrants »...