@Buzzcocks
Je ne sais pas pour qui sont faits ces JOs mais quand un type (français ou étranger) peut payer 120 euros pour voir un mec tirer à l’arc, il peut payer 4 euros son ticket de métro.
Sinon, c’est surprenant mais je suis d’accord pour dire que les JOs sont en France uniquement par la volonté de quelques personnes qui vont se faire mousser pendant 2 semaines dont un certain Jupiter. Après, c’est Hollande qui a voulu cette farce. Et j’en veux aussi à Hidalgo qui était contre et qui a subitement changé d’avis pour suivre la ligne du parti. Quand on a des convictions fortes, on les assume.
Paris est la ville la plus visitée du monde, elle n’a pas besoin de cette vitrine pour que les gens viennent naturellement.
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Surement pas fait pour les français qui en subissent déja les conséquence et ce n’est que le début
étudiants virés de leurs logement, liberté de circulation réduite au minimum, , des passe , des QR codes , des badges à profusion.
cela va être infernal pendant la période des jeux,
Autour de chaque site, les autorités
ont délimité quatre périmètres de sécurité.
Le premier "à proximité
immédiate du site, est le périmètre organisateur où ne rentrent
que les gens accrédités ou munis d’un billet".
Se trouve ensuite le périmètre de
protection (dénommé « Silt »). "Pour y entrer, tout le
monde est fouillé", explique Laurent Nunez, qui assure que
cette délimitation "n’englobe en général pas de riverains,
sauf pour la cérémonie d’ouverture et de manière limitée pour
quelques sites".
Deux autres "périmètres de
circulation" existent, où les restrictions ne concerneront
pas les piétons ou cyclistes, mais que les véhicules motorisés. "
Au plus près du site, le rouge : le principe est l’interdiction de
circulation, sauf dérogation".
Le « bleu », dernier
périmètre, est un périmètre de réglementation de la
circulation. "Nous ne voulons laisser entrer en voiture que ceux
qui y vivent, travaillent ou veulent se rendre dans un commerce ou un
restaurant".
Précisément nombreux sont les
contempteurs de l’événement des JO qui considèrent, à la
lumière en particulier du projet de la cérémonie d’ouverture des
JO sur la Seine ou du Parcours de la Flamme Olympique, que l’on
oscille entre la folie des grandeurs et le principe, devenu très
d’actualité du peu importe le « quoi qu’’il en coûte olympique