@ddacoudre

Oh putain, tu vas prendre cher, toi...

Oui, merci : j’ai 60 ans. Je connais « la rubrique des chiens écrasés », celle des « faits divers » vraiment très peu divers...

Il y a 2 ou 3 ans, ou plus, je sais pas, lorsqu’un enrichisseur musulman ( j’y peux rien : il était musulman ), un de plus ( j’y peux rien non plus ), avait égorgé une femme sortant d’un commissariat de police et que j’avais ressorti ici même cette histoire, ce « fait divers », un « type bien », comme toi, m’avait reproché exactement ça : de faire la rubrique des chiens écrasés...

Pure commentaire de psychopathe... Et là, je pourrais m’étendre un peu sur les études sorties depuis quelques années dans le domaine de la psycho et qui pointent clairement du doigt certaines tendances de nature pathologique qu’on retrouve singulièrement chez la population des « gens bien ». Comme toi. Narcissisme, machiavélisme ( = tendance marquée à la manipulation ) et psychopathie ( peu ou pas d’émotions ). D’où certaines hiérarchies curieuses qu’on observe chez les gens comme toi.

Dès lors qu’un « fait divers » ( vol, agression, viol, tentative d’assassinat et assassinat effectif ) a pour acteur principal une richesse pour la France ( je te fais un dessin ? Nan, hein, je crois que t’as compris... ) d’un côté et une victime autochtone de l’autre, 1) c’est juste un fait divers qui ne mérite pas d’autre mention que celle-là ; bref : aucune importance 2) il ne faut surtout pas mentionner les origines ou l’identité du ou des coupables : c’est stigmatisant...

Et là, c’est marrant, parce que le 2) bah, c’est juste un aveu. Un aveu terrible... C’est l’aveu inconscient que, pour les « gens bien », comme toi, dans la hiérarchie suprême des valeurs, la vérité doit céder la place à ce qui, selon ton idéologie, est le Bien. Logique pure de psychopathe...

En revanche, quand, mettons une fois tous les 5 ans, il arrive un « fait divers » où un autochtone est le coupable et une richesse pour la France la victime, là, là, là... Là, tout-à-coup, la vérité vient reprendre immédiatement la première place dans la hiérarchie des valeurs du type bien. Miracle ! Il a recouvré la vue ! De nouveau le type bien découvre qu’il a des yeux pour voir ! Ce crime-là, il l’a vu ! Au milieu de tous les autres ! En fait, il a de bons yeux... En fait.

Pourtant, depuis 40 ans, la liste des victimes autochtones de ses amis racistes, car il y a une dimension raciste dans tous ces « faits divers » sans importance, est... infinie ! Infinie ! C’est tous les jours. Tous les jours, c’est enrichissement des autochtones par le vol, par l’agression, par le viol ou par l’assassinat...

Alors ? Alors moi, qui viens de ton camp, celui des « gens bien », quand je me suis rendu compte il y a une vingtaine d’années, qu’être « un type bien » m’imposait d’être aveugle dans certains cas trop fréquents et d’avoir 10 sur 10 dans certains autres cas extrêmement rares, bref, d’être un genre de psychopathe au service d’une idéologie qui se prend pour l’expression du Bien sur terre, j’ai dit stop. Fini. A pus.

Je refuse d’être un type bien. Les types bien, vous êtes de trois sortes. Les cons naïfs et idéalistes d’une part. Les salauds, d’autre part, qui manipulent à dessein les premiers en sachant parfaitement, eux, qu’ils mentent 24H sur 24H et 7 jours sur 7. Et les 3èmes qui sont un mélange des deux premiers. Putain, c’est pas glorieux... La gueule des « types bien »... Dégueulasse.

Alors ? T’es de quelle sorte, toi ? Con idéaliste ? Salaud manipulateur ? Mélange des deux ?