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Commentaire de Géronimo howakhan

sur Le coût exorbitant du diabète...


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Julian Dalrimple-sikes Géronimo howakhan 21 décembre 2023 08:08

@troletbuse

Salut, je ne pense sérieusement pas que l’avatar rosemar soit réelle..comme bcp ici cet avatar est juste ( ils sont juste des) employé du pseudo NOM, qui en réalité est l’ADHM, comme armes de destruction hautement massive ou Ancien Désordre Humain Mondial..
cela dit sur le sucre oui cela semble être le cas..
cela dit ce monde c’est nous...la somme des nous, de ce que nous sommes devenus et de ce que nous voulons, n’est t’il pas ??
1% de méchants dominerait 99% de gentils, bien sur c’est faux, sauf si on écrit gentils pour la traduction de goyims, les non « nous-eux » ..
le réel est celui-ci : quasiment 100% des humains sont tous en combat les uns contre les autres et c’est un choix, par fuite de la vie qui donne un désir d’appât du gain pour compenser, désir jamais satisfait car la terreur que naître = mourir est ce qui sous tend notre tentative absolue de survie, ce qui est LA négation de la vie..

tout probleme montre lui même la solution x
« ils coopèrent » pour niquer les autres..
 nous refusons totalement, la masse est dite , était dite dès le début..
donc........le combat appelé compétition , principe qui élimine, n’est pas le chemin, nous refusons de le quitter..sans doute pour donner raison à Jacques Bénigne Bossuet et à La Boétie
- "Mais Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer. Que dis-je ? Quand on l’approuve et qu’on y souscrit."

mes respects et smiley
- Pauvres gens misérables, peuples insensés, nations opiniâtres à votre mal et aveugles à votre bien ! Vous vous laissez enlever sous vos yeux le plus beau et le plus clair de votre revenu, vous laissez piller vos champs, voler et dépouiller vos maisons des vieux meubles de vos ancêtres ! Vous vivez de telle sorte que rien n’est plus à vous. Il semble que vous regarderiez désormais comme un grand bonheur qu’on vous laissât seulement la moitié de vos biens, de vos familles, de vos vies. Et tous ces dégâts, ces malheurs, cette ruine, ne vous viennent pas des ennemis, mais certes bien de l’ennemi, de celui-là même que vous avez fait ce qu’il est, de celui pour qui vous allez si courageusement à la guerre, et pour la grandeur duquel vous ne refusez pas de vous offrir vous-mêmes à la mort. Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ? Les pieds dont il foule vos cités ne sont-ils pas aussi les vôtres ? A-t-il pouvoir sur vous, qui ne soit de vous-mêmes ? Comment oserait-il vous assaillir, s’il n’était d’intelligence avec vous ? Quel mal pourrait-il vous faire, si vous n’étiez les receleurs du larron qui vous pille, les complices du meurtrier qui vous tue et les traîtres de vous-mêmes ? Vous semez vos champs pour qu’il les dévaste, vous meublez et remplissez vos maisons pour fournir ses pilleries, vous élevez vos filles afin qu’il puisse assouvir sa luxure, vous nourrissez vos enfants pour qu’il en fasse des soldats dans le meilleur des cas, pour qu’il les mène à la guerre, à la boucherie, qu’il les rende ministres de ses convoitises et exécuteurs de ses vengeances. Vous vous usez à la peine afin qu’il puisse se mignarder dans ses délices et se vautrer dans ses sales plaisirs. Vous vous affaiblissez afin qu’il soit plus fort, et qu’il vous tienne plus rudement la bride plus courte. Et de tant d’indignités que les bêtes elles-mêmes ne supporteraient pas si elles les sentaient, vous pourriez vous délivrer si vous essayiez, même pas de vous délivrer, seulement de le vouloir.

  Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres. Je ne vous demande pas de le pousser, de l’ébranler, mais seulement de ne plus le soutenir, et vous le verrez, tel un grand colosse dont on a brisé la base, fondre sous son poids et se rompre.

  La Boétie, extrait du Discours de la servitude volontaire


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