@Lynwec
Delors, le Torquemada de l’européisme fou, l’eurocrate fanatique, occupe effectivement une place éminente dans le processus mortifère qui a conduit la France au désastre : fiscalisme, endettement colossal qui va tôt ou tard conduire à la confiscation de la propriété foncière, Grand Remplacement qui, en plus d’être un syntagme est désormais devenu une réalité incontestable (sortez dans les rues, dans les villes, dans les campagnes et regardez), islamisation et ensauvagement de la société (une criminalité démentielle, impunie, prodrome d’une guerre ethnique, raciale, religieuse, déjà commencée), totalitarisme, technopolice, police de la santé, désindustrialisation de la France, mainmise de l’Allemagne sur l’Europe, guerre de l’OTAN en Ukraine.
(Koudenhove-Kalergi, Monnet, Schumann et Delors auront réussi là où Hitler a échoué), inféodation complète aux Etats-Unis avec, prochainement sur vos écrans, en Realityrama et Total Sound, Odorama de cordite et Lumirama de phosphore blanc, une vraie guerre avec la Russie en qualité de proxy des USA, pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres. Une Russie qui se désintéresse de l’UE mais qui n’hésitera pas à faire un ou deux coups d’éclat militaires le moment venu pour affoler le poulailler européen (van der Leyen, Macron).
A l’occasion de la disparition de J. Delors, le voilà encensé par Macron, Hollande, Jospin et von Der Leyen précitée, sans oublier Anthony Blinken, la voix du suzerain US. Rien d’étonnant : Asinus asinum fricat.
Ces gens sont des calamités, des plaies suppurantes, des métastases géopolitiques, économiques, sociales. Des destructeurs.
RB