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Commentaire de SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

sur Gabriel Attal plongé dans l'enfer de Matignon à 34 ans


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Après s’être débarrassé de 15000 fonctionnaires récalcitrant à la vaxxination forcée , la harpie LGBTQR-CODE + est virée .

 https://www.francesoir.fr/politique-france/changement-de-premier-ministre-pour-une-revision-de-la-constitution

Puisque nous sommes dans le registre du Code du travail, constatons qu’Elisabeth Borne vient de faire l’objet d’un licenciement sans préavis formel, avec cependant les indemnités et avantages dus aux anciens Premiers ministres.

A l’insu de son plein gré

Le départ de Madame Borne, « à l’insu de son plein gré » comme le disait un vrai sportif de haut niveau, ne manque cependant pas de soulever une question à laquelle il faudra bien un jour apporter une réponse. C’est celle de la Constitution et de son article 8, rédigé de la sorte : " Le président de la République nomme le Premier ministre. Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du gouvernement".

L’hypothèse ne s’est jamais présentée, mais elle existe en théorie : un Premier ministre qui refuserait de présenter la démission du gouvernement, et entendrait se maintenir en fonction. Interrogé à ce sujet en 1972, Jacques Chaban-Delmas — Premier ministre à qui Georges Pompidou, président de la République, venait de signifier son congé — avait répondu que le Premier ministre qui refuserait de démissionner à la demande du chef de l’Etat (et non de sa propre initiative, comme le fit plus tard Jacques Chirac sous Valéry Giscard d’Estaing) serait "un triste sire".


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