On lit ceci.
Comme quoi il existe encore une France qui n’est pas prête à dérouler le tapis devant une imposture généralisée.
La
Macronie accouche de personnages improbables plus gratinés les uns
que les autres, de Brichel à Bachelot, de Benalla à Abdul Malek, en
passant par Sibeth. Mais avec Gabinou c’est du lourd ! Pesé,
empaqueté et vendu. Le colis ne sera pas repris.
Premier
Sinistre pour son premier emploi !
Il
était temps, à 34 balais, qu’il apprenne à se lever le matin
pour aller bosser. Même si le petit boulot de bureau qu’on lui a
réservé à Matignon n’est pas trop fatigant. Mais il faut bien un
commencement à tout. Car jusqu’à présent, le mignon de Macron
n’avait jamais travaillé de sa vie. À moins de considérer que
parader dans les médias en enfilant des éléments de langage est
une tâche harassante.
Pour
la nomenklatura progressiste ébahie, c’est un génie !
Forcément,
puisqu’il est une caricature vivante de la gauche caviar.
Accommodée à toutes les sauces. Selon ses interlocuteurs.
Sa biographie est
aussi zigzagante que sa sexualité. Juif ou chrétien, Russe ou
Tunisien, homo ou hétéro, quand ça l’arrange. Ce n’est plus un
métèque mais un vrai corniaud. Au sens canin s’entend.
Fils
d’un producteur de cinéma, il commence à se faire appeler Gabriel
de Couriss comme maman. À l’École alsacienne où tout le monde
est premier de la classe moyennant un gros chèque, il apprend les
bonnes manières. Bien se tenir en société, briller dans les dîners
en ville, parler pour ne rien dire, roter dans le creux de sa main et
flatter le cul des douairières. Des talents autrement plus
importants qu’un bagage scientifique. Lequel ne sert qu’aux gueux
tenus de bosser pour croûter.
Bien
évidemment, comme tous les jeunes gens de bonne famille dispensés
du moindre effort pour réussir dans la vie, il intègre Sciences
Peaux de zob, avant de passer directement des amphis somnolents aux
cabinets ministériels où l’on papote entre gens du même monde.
Ce jeune parasite ne pouvait que plaire à Macronescu et à
Brichelle. Quand existent de telles affinités, c’est de la
prédestination.
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