@ Aristide
Vous continuez de raconter n’importe quoi !!!
Qui, à part vous, emploie le mot « irrévocable » ?
Personne de sérieux, et cela n’aurait aucun sens dans la mesure où il est important de laisser au malade désireux de bénéficier d’un « suicide assisté » la possibilité d’y renoncer jusqu’au dernier moment !
Personnellement, j’ai évoqué ici ou là une « volonté réitérée » ou une « volonté exprimée à plusieurs reprises ». Jamais « irrévocable » !
« Le corps médical refuse cette implication dans une procédure qui aboutit à participer à une mort certaine »
D’une part, ce n’est pas « le corps médical », mais une partie de celui-ci !
D’autre part, il n’a pas à être impliqué.
Personnellement, je suis favorable au système suisse qui délègue à des associations agréées la responsabilité de fournir le produit létal.
Dans un tel cas, le rôle du médecin se résume à valider (à plusieurs reprises dans un délai légal) le fait que le malade souffre d’une pathologie incurable et se trouve exposé à de graves souffrances physiques et/ou psychologiques.
A aucun moment le médecin n’intervient dans la mise en oeuvre effective du « suicide assisté » !
Je n’ai aucune intention de polémiquer sur un cas belge. Manifestement, il y a dans ce pays des failles dans la législation, ce qui est connu depuis longtemps.
Car le fait que, si les Belges ne sont pas des « imbéciles » (j’ai trop de respect pour eux pour penser cela), il est clair qu’ils n’ont pas suffisamment « cadré la loi » dans leur pays !
Aux législateurs français d’en tenir compte pour imposer plus de rigueur dans le processus.