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Commentaire de SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

sur Macron : Capitaine d'un navire en perdition : « A droite toute ! »


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https://twitter.com/lesaurores/status/1747667048937714128

SciencesPo, sollicité, vient de confirmer qu’il n’y avait pas de validations d’acquis en 2013, et qu’en conséquence, M. Attal n’aurait pu en bénéficier légalement.

Or M. Attal n’a eu son diplôme de SciencesPo qu’en mai 2013, alors qu’il faisait partie de la promotion 2012.

Et il occupait depuis mai 2012, ’un des postes les plus chronophages de la République : conseiller ministériel. Un temps plein payé 6.000 euros par mois au ministère de la santé - domaine sur lequel il n’avait aucune compétence - obtenu grâce à un piston de sa meilleure amie qui était alors la fille de la ministre, Marisol Touraine.

C’est un poste qui exige jusqu’àparfois jusqu’à 80 heures de travail par semaine.

Il n’a donc pu suivre un quelconque cursus au cours de l’année universitaire 2012-2013.

Il va cependant être diplômé en mai 2013.

Comment l’expliquer ?

Une VAE ? Non, SciencesPo vient de confirmer qu’elles n’existaient pas.

Comme l’attestent les documents que nous avons reçus, la direction de SciencesPo a décidé de lui offrir son master en « récompense » de son recrutement en un cabinet ministériel.

Ce sont des arrangements courants à SciencesPo avec les élèves qui peuvent leur servir de relais par la suite.

Alors qu’il n’avait pas réussi à obtenir son master, pourtant quasiment offert aux étudiants de SciencesPo, et qu’il devait donc redoubler, M. Attal va donc se voir offrir son seul diplôme connu par copinage.

C’est beau l’endogamie.

Rappelons que M. Attal, contrairement à ce qu’il a affirmé, et comme cela a été depuis confirmé aux Echos, n’a pas non plus suivi d’études de droit à Assas, où on lui avait pourtant permis d’entrer en L3 directement.


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