Le problème de gens comme vous, c’est qu’ils ont une connaissance totalement biaisée de l’économie,
ça rejoint ce que je vous ai répondu : vous prenez les autres pour des être inférieurs.
Pour vous, cela se traduit par l’abandon de la monnaie par opposition,
contradiction et non par analyse fondée sur la raison ou plutôt sur le
principe de causalité.
Vous expliquer que la vitesse de rotation monétaire, la rareté relative de la monnaie, et la croissance obligatoire mais mortifère, ne sont pas « du vent » mais bien une recherche de causalité.
Autrement dit, la seule chose qui a de la valeur est le travail humain,
Vision Marxiste dépassée par la réalité : a de la valeur ce qu’on veut que ça ait de la valeur. Un arbre et ses fruits ont une valeur, mais pas pour votre raisonnement qui se limite au travail humain.
Ceci étant dit, ce n’est donc pas la rareté qui fait la valeur d’une
monnaie, mais le fait que celui qui détient la monnaie détient la partie
créance et celui qui n’en détient pas ou insuffisamment, détient la
partie dette.
Essayez de payer quoi que ce soit avec des feuilles d’arbres et revenez nous dire si ça marche.
Penez vos phénicien et leur tablette, il s’agit d’une forme de monnaie fiduciaire
Et qu’avez-vous fait de cet exemple qui prouve que la monnaie n’est pas basée sur « une dette » ?
Rien.
Vous n’avez absolument pas démontré qu’à cette époque la monnaie était basée sur « une dette » ni que les échanges se faisaient avec une monnaie non basée sur la rareté relative.
or dès qu’il y a eu usage de pièces basées sur des métaux, il y a eu comme base « la rareté relative » (de ces métaux).
Vous ne faites que vous entendre parler.