Les
nucléocrates n’hésitent devant aucune énormité.
Certains
fabulent encore sur le recyclage des déchets nucléaires.
Ils
ne veulent rien savoir de ce qui se passe à La Hague : 98 %
des déchets ne sont pas vitrifiés, et vont reprendre leurs
transports vers une décharge accueillante de Sibérie, … si la
guerre de Poutine se termine, et si on est gentil avec le fsb.
Les
piscines de stockage vont être saturées bien avant 2030.
Les
mouvements de terrain à Bure ont déjà brisé les parois de béton
...
L’OMS
n’a pas le droit de publier, depuis 1959, les effets sanitaires de
la radioactivité … sans l’accord de l’AIEA.
L’Académie
des Sciences de New York, à la fureur de l’AIEA, a publié un
bilan de Tchernobyl => 985 mille dc dont 700 mille hors ex urss.
Le
gouvernement japonais envisageait l’évacuation dans un rayon de
250 km autour de Fukushima pour des dizaines d’années (on se
demande bien pourquoi les spécialistes japonais avaient conseillé
ça), mais la direction des vents a été très favorable : vers
l’océan, ouf ( ??? ).
Les
rejets dans l’océan n’ont plus de limites … heureusement, cela
ne touche pas nos plages (vous croyez ?).
Les
rejets radioactifs sont massifs et continus, principalement en
tritium dans les airs et dans les eaux de refroidissement.
Cattenom :
96 500 milliards de becquerels de tritium en 2017.
La
Hague : 11,9 millions de milliards de becquerels dans la Manche.
Un
accident nucléaire majeur dans un bassin important de population (où
trouver des bassins déserts ???) n’est pas probable, il est certain
… et en France.
La
culture du secret entoure le nucléaire français.
Il
a fallu 35 ans pour qu’un dirigeant avoue avoir rejeté du
plutonium dans la Loire, en refusant de dire combien : on peut faire
croire que ce plutonium a sagement disparu ?
Tous
les chantiers EPR sont catastrophiques.
La
mise à mort programmée d’EDF est prévue par nos piteux
gouvernants, qui pour avoir les mains libres ont repris les
quelques % qui restaient dans d’autres mains.
Nucléaire,
une énergie bien trop coûteuse, avec des réserves d’uranium
limitées et hors de portée.
Alors
si on calcule les externalités négatives, elle est inabordable et
stupide.