L’abolition de la peine de mort... Les cons, dont j’ai été pendant une bonne partie de ma vie, se pâment... Quel grand progrès pour l’humanité ! Quel grand homme !
« Humanisme » hyper narcissique ( comme Badinter, qui adorait s’écouter parler... ) et pour ainsi dire infantile. L’idéalisme niais au dessus des réalités. Pour se faire une petite place dans l’histoire.
A la même époque apparaît sos racisme. Créé par d’autres grands hommes... bhl, Harlem Désir, Julien Dray, t’as qu’à voir... C’est pas un hasard.
La peine de mort est une nécessité, quitte à ne l’opérer que très rarement, ce qui était déjà le cas au moment de l’abolition. Qui n’a eu lieu que pour satisfaire le narcissisme de deux hommes : Mitterrand aussi a trempé là-dedans puisque ça faisait partie de son programme. Et j’étais pour. Et j’avais tort. J’étais un con.
Le peuple, lui, a toujours été pour la peine de mort. Le peuple a toujours eu raison. Et je me suis rangé, tardivement, à son avis. Qui n’a rien à voir avec l’idéalisme niais. Qui est une plaie totale. Notre société a plus que jamais besoin de ce soleil noir qui nous regarde tous. Pour donner du poids à nos vies. Mais visiblement, ça gênait Badinter et Mitterrand qu’un soleil noir les regarde. Pourtant, ça gênait pas le peuple...
C’est pas un hasard si tous les criminels du tiers-monde souhaitent venir faire leur carrière en Europe. Merci les francs-macs !