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Commentaire de suispersonne

sur Considérations sur le déploiement historique du principe de singularité


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suispersonne 1er mars 12:05

@Laconique
Il est erroné de simplifier les concepts.
Les découvertes mathématiques restent cantonnées à l’intérieur de leur domaine, paraissent indépendantes de toute croyance, et donnent une impression d’avoir toujours existé avant qu’on les découvre, parce qu’elles sont le produit de l’application de la logique à des éléments théorisés hors de tout observable externe à la conscience (et c’est de plus en plus la norme).
Et la facilité conduit à en tirer des conclusions hasardeuses sur l’existence d’un projet universel : on n’aura jamais fini de trouver parce que nous ne sommes pas divins ... donc il existe un divin.
Les supercheries de toutes les religions sont pourtant faciles à démasquer ! Il n’est pas étonnant non plus que les croyants soient entraînés à vouloir dominer les incroyants, ce qui est évident, mais deviennent des bêtes féroces bien plus cruelles contre les croyants alternatifs ...

Le mythe de la vie éternelle, une arnaque malicieuse des zélites.

Le mythe d’Osiris veut que ce « dieu » issu d’une vierge a été tué et fut ressuscité, grâce à l’aide de sa sœur Isis.

Cela ne vous rappelle rien ?

2400 ans avant notre ère, le mythe d’une vie éternelle, calquée ici sur celle du renouveau annuel des cultures végétales, est instauré comme fondement du contrôle social.

Ce mythe a été diffusé d’un seul coup, au 25è siècle avant notre ère, signe évident d’une propagande du système royal du moment.

Si on est sain d’esprit, on comprend que la répétition de ce mythe d’une vie éternelle démontre la propagande du pouvoir des castes dominantes sur la masse des castes inférieures.

La base de ce pouvoir est d’imposer que les inégalités sont normales, doivent être acceptées comme inévitables, et découlent d’une prétendue culpabilité de ceux qui en souffrent.

On croirait entendre les merdiacrates baver sur les gilets jaunes, les syndicats et les grévistes.

Champollion, décryptant ce mythe égyptien, bien antérieur à l’apparition du système social de la chrétienté, fut horrifié du danger d’en parler à qui que ce soit, et se garda d’en faire une publication de nature à lui faire subir les foudres de tous les pouvoirs en place : royauté, église, et bourgeoisie.

Quelques siècles plus tôt, c’était la torture et le bûcher.

Le croyant ne manquera pas de réfuter cette évidence, avec les arguments spécieux développés sans aucun fondement dans toutes les théologies.


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