Le
libre échange, quelle merveilleuse arnaque !
L’injustice
de l’accumulation indécente des fortunes des ploutocrates
(et
toujours au départ : une spoliation, soit du bien commun, soit du
bien d’autrui – vérifiez)
devient
encore plus éclatante avec la panpandémie,
qui
a vu ces fortunes gonfler sans que cela puisse être jugé normal par
les gueux, ni même par les zélites embarrassées.
Cette
panpandémie a été instrumentalisée de façon écœurante,
inefficace, autoritaire et bornée, par tous les pendards politiciens
dont la seule boussole est celle des « études d’opinion »,
pratiquées en continu, quel qu’en soit le coût, parce qu’ils
sont incapables du courage apte à gérer le long terme, ni la
prudence nécessaire à la science.
On
peut remarquer :
Les
mafias du crime organisé ont exactement le même comportement,
indifférent à tout sens moral, que les actionnaires, et suscitent
les paradis fiscaux qui leur vont bien.
La
misère exponentielle de la majorité des humains vient de ce système
triomphant du « libre échange », qui veut le renard libre
dans le poulailler libre.
Lequel
libre échange a été magistralement défendu par la compagnie
commerciale anglaise qui vendait l’opium en Chine
(la
culture du pavot avait déjà été interdite par l’empereur
chinois)
en
faisant attaquer l‘empire chinois par des canonnières,
ce
qui déjà n’est pas anodin,
pour
l’empêcher de mettre fin à l’usage de l’opium exporté depuis
la colonie britannique d’Inde.
Mais
le pire :
… cette
attaque aurait été « rendue nécessaire par l’obligation de
développer le libre échange, … , »
tenez
vous bien …,
« …
qui serait seul à même de faire disparaître tous les conflits
armés,
et
d’assurer une paix éternelle entre tous les peuples de cette
terre » … sic.
L’histoire
a du sens, et les humiliations subies par la Chine, auxquelles ont
participé les usa et la france, ne sont certainement pas oubliées.