@Mozart
SUITE ET FIN
Sans vous soutiens (j’allais dire
vos souteneurs) vous avez à peine l’envergure d’une katiba de Hamas – sans le
courage, le sens du sacrifice et la dignité des preux combattants. Il a fallu
un 7 octobre pour montrer votre armée chouchoutée, gavée et régalées sous son
vrai visage : peureuse en guerre et grande demandeuse de couche-culotte.
Vous nous sortez un bien fallacieux
argument qui consiste à dire que le bonheur des Palestiniens aurait été de se
soumettre aux Juifs mais vous n’allez jamais au bout de votre trouvaille :
nul avenir qu’un Arabe trouverait un jour avec Israël pour la simple raison que
la nature n’a rien fait en ce sens. Un adage de chez nous dit clairement :
« A tort celui qui croirait sucer le miel dans le croupion d’une guêpe ».
Votre rouerie a des allures de « Je t’aime, moi non plus ». Et donc d’une
impossible cordialité depuis l’ancêtre commun : Abraham.
Et de rempiler encore avec vos allégations insensées :
« quand les juifs sont venus
s’installer fin 19° et au 20° siècle, ils n’ont spolié personne. Ils ont créé
des Kibboutz sur des terres arides et fondé une économie là où il n’y avait
rien. Les arabes n’ont eu de cesse que de détruire et de jalouser »
Ah oui ? Tant que ça ? Mozart !
Oh Mozart ! Qui, d’ailleurs, se laisse prendre en flagrant délit d’erreur.
Pour ne pas dire mensonge. La preuve ? Celle-ci : Les Arabes n’on
jamais été aussi colonisés qu’à l’époque que vous évoquez. Citez-moi un seul
Arabe qui vous aurait gênés aux entournures. Vous, les préférés, de l’Empire
britannique, lequel, d’ailleurs, préparait à cette époque son retrait physique
du Proche-Orient en promettant de céder diaboliquement à vos désirs. Vous céder
l’autorité sur ce pays. Une façon de vous rendre héritiers de fait, de force et
de droit, et, par vous interposés, de continuer, lui, son influence néfaste. Et
à en tirer tous les profits possibles.