Un « ministre », quel qu’il soit, n’est qu’une « borne » posée là, au beau milieu d’un courant, qui emporte tout, parce que laissé trop longtemps, libre de contraintes, ou soigneusement canalisé, par des b(e)arges aux idées, qui ne mènent à rien de bon !
Alors, oui, on la place là, pour matérialiser le lieu, et les fonction-nalités qui doivent correspondre à cet endroit !
Si on regarde bien, c’est bien d’impuissance qu’on parle !
Impuissance des idées, impuissance des actes, impuissances des réactions !
Parce que désormais, il est trop tard, pour envisager de faire machine arrière, sans paraître trop fascisant, et que cela ne déteigne sur la politique générale, de qui dit
« tenir les rennes du pouvoir ».
C’est trop tard, beaucoup trop tard, pour ces « explorateurs de l’indéfini » qui veulent désormais rajouter les prémices de « l’éducation et de l’exploration sexuelle », à leurs consignés parentaux, alors que le simple voile, porté en étendard confessionnel, suscite une retraite dei capi, digne de Waterloo !
La lâcheté, n’est pas celle d’aujourd’hui !
La lâcheté primordiale, a été de concéder le droit d’instruction indifférencié, à un mélange in-absorbable de contre cultures, dont certains se sont fait les chantres d’une liberté différenciée, partagée à tout prix .
Qui ne mène en définitive, qu’à une unification généralisée des problèmes, qui vont crescendo, et qui fermeront la porte, à tout espoir d’instruction et de civilité .