Un bel
exemple de chronique tel qu’en produit un certain type d’élites politiques
persuadées de leur supériorité tout en étalant comme des enfants gâtés et
myopes leurs préjugés et ignorance de ce qu’est réellement le politique pour un
peuple de citoyens. Je ne peux aussi m’empêcher de penser que dans ce qu’ est cette
mystification permanente de la vie démocratique, il y a aussi une part de
fabulation à laquelle elles croient. Qui leur sert à masquer plus ou moins
consciemment le sentiment diffus d’illégitimité qui les travaillent les
poussant toujours plus dans des combinaisons
électorales qui peuvent devenir inquiétantes par leur volonté de fracturer notre
société en espérant tirer profit de ces confusions et de ce chaos ainsi mis en
scène.
Cette façon obsessionnelle d’y revenir sans cesse
en tentant de diaboliser ou d’affaiblir
LFI depuis des années qui envers et contre tout poursuit son chemin avec les
générations qui se renouvellent et apportent leur intelligence, leur
créativité, leur détermination, leur
sens des responsabilités et leurs
ambitions et dont les médias ne parlent jamais. Ne soyons pas trop injustes, on
peut comprendre les oligarques qui ne se
sont pas donné le mal de prendre le
contrôle des médias et des instituts d’opinion pour rien. Cette diabolisation
de kermesse qui révèle maintenant chaque jour un peu plus la peur, l’hypocrisie
et aussi une forme de dangerosité qui accompagne les pouvoirs en décadence. Travaillés par le besoin fébrile de
recourir à ce type de pratiques dans une décadence amorcée toujours accompagnée du
vieux recours aux recettes de l’extrême-droite comme dernier étape qui accélère
leur chute.