Je suis contre l’immigration. Mais dans ce cadre-là, je dois faire un mea culpa :

c’est vraiment trop facile... La réalité elle-même, « le réel » comme disent les gens qui « savent », est CONTRE l’immigration. Tous les jours que Dieu fait ( ça, c’est pour faire chier les cons ), le « réel » nous abreuve de faits, innombrables, qui disent, qui crient plutôt : « Quand arrêtera-t-on le massacre du peuple français ? »...

« Nantes : une femme violée par le jeune SDF qu’elle avait accueilli chez elle »

https://www.lefigaro.fr/nantes/nantes-une-femme-violee-par-le-jeune-sdf-qu-elle-avait-accueilli-chez-elle-20240422

« Le jeune SDF » ? Oh putain... Le suspense est à son comble ! « Le réel » va-t-il nous surprendre ? Hé, à ce stade, on sait pas pas, hein... Peut-être c’est un Mathéo, hein, le « jeune SDF »... Si, c’est possible ! Ya des poissons volants !

Allez, arrêtons l’ironie facile : le jeune SDF, c’est « un Algérien ». Donc un « migrant ». Comme d’habitude. La routine. C’est toujours comme ça. Ya que les cons qui refusent obstinément de le reconnaître. Les cons, autrement appelés « les gens bien ». Car les innombrables « faits divers » en Occident ( pas seulement en France ) sont notre meilleur argument pour l’arrêt immédiat de l’immigration. Les victimes de ces gens venus essentiellement du tiers-monde sont, exactement comme les « faits divers », innombrables. En fait « fait divers », très souvent, ( trop souvent... ), ça signifie « victimes françaises d’agressions diverses et variées, allant du vol jusqu’au meurtre en passant évidemment par les viols, perpétrées par des étrangers venus du tiers-monde, très souvent ( bien trop souvent... ) musulman ». C’est comme ça et c’est pas autrement.

La victime, là, cette femme de 49 ans, a une particularité. Cette particularité, c’est qu’elle n’est pas seulement victime du migrant algérien. Elle est aussi victime de son idéologie grotesquement niaise : en gros, le « progressisme », les droits de l’homme au dessus de tout, l’humanisme sans limites. Faut être gentil. Et de son ignorance crasse. De la psychologie humaine et masculine d’une part. Et de l’islam d’autre part. Qui produit de la psychologie masculine très très très « particulière ». Entre autres.

Vous savez ce que je crains, moi ? Je crains que ce soit le genre de profil psy qui mettra un point d’honneur à ne rien changer malgré cette expérience normalement traumatique. Le genre « qui pardonne parce que tu comprends, Momo ( au hasard ), c’est une victime : mon viol, c’est un appel au secours ». Le militantisme, de quelque sorte qu’il soit, attire structurellement des personnalités, hum, particulières. Ya un vide personnel à combler. Bref, elle a peut-être accompli son destin en rencontrant une autre personnalité « particulière ». Et là, qui sait, c’est peut-être le début d’une belle histoire d’amour... Je plaisante à peine.